L'histoire du gros-con-la-boulette.
Gros-con-la-boulette rêvait d'une terre d'accueil sans soucis. Il en existait tout plein dans le monde des pays qui pouvaient correspondre à sa description. Partout je vous dis!
Mais Gros-con-la-boulette avait une idée fixe: aller au Québec! Terre Promise du vingtième siècle. Euh.... il avait pris ça où.... peu importe.
Il avait bien ancré dans le crâne, que le Québec était un genre de paradis terrestre. Euh (bis)...
As-t'il vraiment eu à vivre 3 ou 4 jours sans électricité?
As-t'il vraiment eu à vivre un jour avec un minimum d'argent?
As-t'il eu à ouvrir x mètres d'entrée enneigée au point de ne plus la voir, la voiture non plus... et ce au moins 20 matins durant UN hiver sur combien....
As-t'il vraiment eu un jour eu la chance d'avoir des voisins qui auraient pu adoucir ses deux items cités plus haut? Ou à l'inverse... lui-même alléger les souffrances temporaires de ses voisins... parque qu'au Québec: c'est l'entraide qui prime.
On ne le saura jamais.
Gros-con-la-boulette était arrivé avec une indescriptible noirceur au coeur. Un espèce de nuage sombre... un halo, les plus sensibles en percevaient l'odeur âcre...
Si ça se trouve, car on ne le saura jamais, et puis à quoi bon? Un petit tas d'écrapou retrouvé des années plus tard, sénile, maugréant à qui mieux mieux, des insanités sur pays qui aura tenté de lui redonner un coeur vivant, accueillant, conciliant, aimant, tolérant.
Le pays aura failli?
En aucuns cas le pays aura failli, ni ses habitants.
Morale: on ne peut pas redonner vie à un coeur de pierre, on ne peut pas redonner d'espoir à celui qui condamne à tout va, on ne peut pas même se faire entendre au sourd qui surveille ses oeillères!
Dommage: quelle perte de temps et d'énergie!
Et vous dire la perte de Gros-con-la-boulette: j'ose pas vous le dire il pourrait venir lire ici et tendre vers un meilleur que ce qu'il n'aura jamais imaginé et qui ne lui arrivera jamais!
Diagnostic: perte totale...
Il aurait pu avoir cette tête... sourire béat...
On aurait pu louer son courage et sa ténacité
Surnager dans un monde inconnu!
Sauf que: la seule image qui émerge est celle-ci!
Bon: moi je veux bien en faire une bonne plattée de beans, un rôti mais; n'étant pas canibale: je vous laisse le soin de l'apprêter à votre goût personnel.
* Laisser tourner sur la broche durant des années et encore... ce ne sera jamais comestible.
* Le laisser se brocher lui-même et encore-là: c'était avarié au départ!
* Ne rien toucher: il est un beau modèle d'auto-destruction pour nos enfants.
* Fermez les écoutilles.... en général; c'est ma solution miracle: ça évite les mauvaises odeurs ainsi que les méchants bruits agaçants: genre grincements de dents.
* Bon celle-ci est à votre choix!
légère
Il y a 2 jours
2 commentaires:
Keep cool Beo,
tout cet énervement de la part des uns et des autres c'est du vent!
Au fond ce qui compte, c'est que le Québec, la France, comme des milliers d'autres endroits au monde, sont des lieux où il fait bon vivre. Les différences nous titillent, on focalise dessus, mais est-ce si important?
Enfin je dis ça parce que c'est peut-être plus facile pour moi,je n'ai pas pris aussi à coeur cette discussion, n'étant pas Québécoise.
Je vais m'empresser de lire ton histoire de fondue pour me changer les idées :)
Eltée * Je ne la prends pas à coeur, sauf que j'ai pas pu résister à écrire ce petit billet qui me fait du bien, qui résume ma pensée. Pour le reste: je suis tout à fait d'accord avec toi ;)
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