La semaine nous offre une météo assez clémente. De belles percées de soleil qui font du bien après 3 jours de déluge.
C’est rigolo; j’ai trouvé des albums de Tintin en petit format! J’ai pas pu résister à m’offrir: Le lotus bleu qui fut celui qui m’a le plus impressionnée quand j’étais gamine. On verra si je me refait la collection complète.
Encore ce soir (jeudi), en rentrant du travail; je trouverai dans ma boîte aux lettres mes deux DVD de la semaine: qui seront mes 31e et 32e films! J’estime avoir repris mon retard et même de l’avance!
J’ai terminé ma lecture de Nain de jardins: j’avoue que je vous avais parlé de le meilleure des nouvelles, soit la toute première du bouquin. Il y en a deux autres pas mal mais ça casse pas des masses.
Il y a un truc qui joue pas en Suisse, dans la vie courante. Chez nous, en général; on est habitués à gérer les problèmes. Pour les plus optimistes: il n’y a pas de problèmes, que des solutions. Autrement-dit, quand on arrive à faire la mise en situation, à y accoler les solutions possibles et à cogiter avec logique: les solutions sont limpides du coup.
Ici; on préfère tergiverser, imaginer le pire, parer au pire qu’on vient d’imaginer ce qui les fait passer totalement à côté des solutions pour les VRAIS problèmes. La gestion des lessives devient un sujet qui absorbe une grande partie des conversations; ce n’est qu’un petit exemple.
Quand vous n’êtes pas catastrophés comme eux, lors d’une conversation: vous faites tâche. Hier; j’ai mentionné à une voisine que je ne peltais pas dans les nuages. Autrement-dit: je vais pas m’en faire pour ce qui n’est pas ENCORE un problème.
Pareil au travail, suite à plusieurs semaines à travailler à 3, dans le plus grand respect de l’horaire et du planning: on en vient à avoir l’habitude de ne pas stresser pour rien. C’est plus difficile à expliquer à notre cheffe à son retour.
Comme sera probablement difficile les retour à une lettre circulaire que j’ai dû faire parvenir au 2e condo pour mettre au clair une simple question de timing de porte d’entrée… À suivre. Mais, je m’attends à des chapitres de blablas gravitant à des lieus de la résolution de problème! Ah lala…
C’est comme le problème d’écologie. Depuis que je suis ici; je n’emploie plus d’assouplissant pour la lessive. Nul besoin alors… il me reste que le détergeant et un produit détartrant pour l’eau dure -calcaire-. J’en vois d’autre utiliser 36 produits différents… à se demander lequel elle préfère dans la masse! J’aime pas quand les paroles ne servent qu’à mettre de la poudre aux yeux et à faire bonne figure. Encore moins quand on me sert du: Y a qu’à….
PS: un autre point de vue de mes fleurs au balcon qui péréclitent avec la fin de l'été.
légère
Il y a 2 jours
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