vendredi, septembre 15, 2006

Le film du jeudi soir!

Après avoir enfin terminé ma grosse semaine de 4 jours, exceptionnellement où tout s'est bien passé. Une vraie semaine de bons moments de rigolades, de pause au bord du lac au midi, je trouve qu'elle est passée assez rapidement.

Le must étant cet après-midi; on étaient à un endroit où les gens sont un peu coincés. Les bonjours sont rares, les mercis encore plus. Je me retrouve dans un grand bureau, désert et je profite pour m'avancer, tranquille. Une dame arrive et discute un peu avec moi, y a des moments de silence aussi. Au final; elle trouvait qu'on étaient bien équipés en terme de produits. Je suis en face de sa place de travail et je range mes bidules: j'ai soif. Je prends ma bouteille d'eau, je songe à l'aviser que je vais boire... mais: j'ai trop soif!

Elle me voit descendre une de ces gorgée d'eau tout en pensant encore aux produits... on a démarré un de ces fous rires!!!! Plus capable de s'arrêter ni une ni l'autre surtout que peu après: un monsieur ouvre la porte et nous voient... on arrive pas à lui dire rien... ouf... juste d'y repenser: j'en ris encore. Et quand j'ai quitté la dame... elle rigolait encore par à coups!

Ah ces moments magiques!

En rentrant: j'ai pris le temps d'aller donner un coup de balai et d'aspirateur à l'autre condo. Ensuite, quelque rangement et paperasseries et hop: j'ai démarré mon film.

De l'ombre à la lumière.
Moi qui adore Russell Crowe; j'ai pas été déçue! L'histoire est bien aussi; ça montre combien les gens ont été misérables durant la Grande Dépression des années 30 aux États-Unis et plus particulièrement comment ce boxeur s'est relevé de la défaite que la vie lui a imposée parce que sur le ring: il n'avait jamais été vaincu!

Quand je loue ces films: j'ai exploré sur le site de location bien sûr, j'ai fais mes choix que je classe dans mes favoris. Mais quand ils m'arrivent: j'ai que les 2 cd dans un petit boîtier. Je n'ai donc pas la jaquette sur laquelle on pose les yeux en avant-goût ou après visionnement.


Tout le long du film; je me suis demandé qui donc jouait la femme du héros. J'en suis venue à me dire qu'elle me faisait penser à Natasha St-Pier, physiquement. Pour constater que c'est nulle autre que Renée Zellweger!



Autrefois boxeur prometteur, Jim Braddock s'est vu contraint d'abandonner la compétition après une série de défaites. Alors que l'Amérique sombre dans la Grande Dépression, Jim accepte n'importe quel petit boulot pour faire vivre sa femme Mae et leurs enfants. Il n'abandonne pourtant pas l'espoir de remonter un jour sur le ring . Grâce à une annulation de dernière minute, Jim est appelé à combattre le deuxième challenger mondial, et à la stupéfaction générale, il gagne au troisième round . Malgré son poids inférieur à celui de ses adversaires et des blessures répétées aux mains, il accumule les victoires. Portant les espoirs et les rêves des plus démunis, celui que l'on surnomme désormais "Cinderella Man" s'apprête à affronter Max Baer, le redoutable champion du monde qui a déjà tué deux hommes en combat...


Le film nous laisse sur un magnifique témoignage, car c'est une histoire vécue, donc: un témoignage d'une ténacité courageuse qui a fini par donner un incroyable courage à la population au chômage, pauvre et affamée, population qui s'est idendifiée à ce boxer simple et sans arrogance. Magnifique.

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