Eh oui; avec de jolies affiches des années 30/40 sur les Grand-Prix de courses de voitures de l'époque.
J'ignore pourquoi: Picasa refuse... le vilain! Je désirais souligner la retraite de Michaël Schumacher, qui n'est pas vraiment une surprise. Souligner mon soudain désintérêt aussi de ces compétitions avec l'absence de Jacques Villeneuve. Pourquoi pas souligner la futilité de tant de choses qui nous entourent aussi parfois?
On se prends à aimer une compétition. On se mobilise en temps et énergies pour suivre les différentes étapes. Parfois; c'est une figure dominante qui nous prends aux tripes. Parfois; on est immergés carrément dans le feu de l'action d'une saison entière, de plusieurs saisons... On aimerais que -
Jacques fasse mieux, on espère à chaque course-; mais la réalité est tout autre.
Il se passe un peu la même chose avec certaines relations. Les gens vous glorifient au départ pour votre entregeant, vos sourires, vos encouragements, votre empathie. Plus tard; ils ne comprennent absolument pas que vous ne partagiez pas leur opinion, que vous soyez différents.
Que ce qui compte pour eux ne signifie rien pour vous, l'inverse se vérifie non? Et alors?
Ils auraient pas oublié de faire vraiment connaissance au passage? Je serai pas une abonnée des apéros des voisins d'en face. On m'a réclamée hier mais je n'y suis pas allée: préférant terminer mon Tremblay.
J'y suis allée brièvement ce soir: brièvement ici signifie un bon 2 heures... pour les écouter, une partie de médisance sur d'autres voisins, une partie de fanatisme ésotérique qui pour ma part, fait partie de mes souvenirs d'adolescence... une autre partie sur des discussions pratiques où j'ai pas trop droit de parole et j'en passe. Il est où le réel intérêt? Un petit 2 heures, relax au sens strict où il me faut faire le vide dans mon esprit pour participer? Réjouissant non?
Ma discussion avec 2 autres voisins à notre entrée a été plus enrichissante en l'espace de 10 minutes.
Sinon: j'ai fait un poulet rôti qui a cuit pendant que je regardais un film! C'est fou ce que le sérieux de ce film, rebutant à priori, m'a captivée après cet apéro flottant dans la nullité ambiante!
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