dimanche, mai 21, 2006

500e billet!

Un samedi franchement automnal s’il n’y avait mes fleurs au balcon pour me prouver qu’on est bien le printemps… fortes pluies, forts vents… je passe au balcon en vitesse pour aller chercher basilic, sauge et lavande que je mets à sécher.

Je fais les sols du condo et d’ici, je prends mon courage pour apporter les corrections aux impôts… ma plus grande bévue est d’avoir mis la valeur du condo comme titre boursier: c’est tellement clair leur affaire… ceci explique pourquoi j’arrivais à des chiffres mirobolants, pareil pour la surface en mètres carré: recopié ce qui avait sur l’acte de vente notarié mais évidemment y a DEUX chiffres alors… j’ai pas transcrit le bon. Y avaient qu’à mettre en pieds aussi!!! Hihihihihi!

Bref un samedi bien occupé mais… j’ai pas eu le temps de rempoter ce qui reste de bégonias. Hier soir: j’ai rejoins les milliers d’accros à Desperate Housewives!!! Faut le faire! C’est fait.

Ça passe ici les vendredi soir, sur la télé suisse, dès 20h40 et ce jusqu’à 23h40... Trois épisodes de suite. Au 3e on est un peu gaga… encore heureux qu’y aie des pubs juste entre les épisodes: fiou! Ça fait tard pour aller au lit quand même. Sinon je teste une nouvelle manière de cuisiner, soit la cuisine à basse température. Il paraît que la viande ne peut être plus tendre qu’avec cette méthode.


Je me suis faite eue un peu par le temps car je désirais faire un gratin dauphinois. J’en ai fait un 3 fois plus petit que le dernier. J’ai modifié les quantités de lait -diminué- pour arriver au total requis avec plus de crème: donc plus onctueux. Le temps qu’il cuise je préparais mon rôti de bœuf.






Ça demande du temps, car après avoir saisi la pièce de viande pour bien croûter toutes les faces, on pose sur l’assiette qui a chauffé au four en même temps que le gratin, on y fiche le thermomètre pour arriver à 55° et une cuisson lente d’une durée de 2 heures.


Il nous faudra réchauffer le gratin au micro-ondes, ce qui n’est pas grave en soi, mais on a mangé à 22 heures!


Sinon en matinée; j’ai retrouvé le pourquoi du comment j’explique le déclic qui m’a fait choisir l’homéopathie!

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