mardi, juillet 25, 2006

Étonnant pour un cru de 1959

Blogger était horrible hier!

Déjà qu’avant hier: une coupure du réseau a fait que mon Explorer a flanché… et j’ai trouvé la solution juste ce soir. Moi qui voulais ajouter mes 2 photos de tomates oblongues… ça m’a pris 45 minutes, avec sacres et désespoirs!

Comme si j’avais besoin de ces désagréments après une journée de travail…

Maintenant; j’essaie de placer mon billet sur le film que j’ai vu en fin de semaine et ça chie autant!

Je dois avouer que j’ai tout fait à l’envers à ce propos -du film ou plutôt au sujet du sujet de- vous me suivez?

Durant nos vacances à Amsterdam en deux-mille et quelque, nos balades nous ont amenés devant la maison d’Anne Frank. Faut mentionner qu’on avait pris un bateau qui fait les canaux et que la seule halte terrestre qu’on a fait pour se délier les jambes, nous a amenée directement devant! Une file interminable a fait que j’ai jamais osé dire aux hommes que j’aurais bien aimé y aller voir! Je me suis fait photographier devant la porte et la photo est même pas assez bien pour la poser ici.

Ensuite: j’ai cherché le livre à mon retour. Je l’ai dévoré vous pensez bien!


Alors, samedi: j’ai regardé le film qui date de 1959 de George Stevens. Malgré l’heure tardive, malgré le noir et blanc: j’ai tout de suite été prise dans le visuel très bien fait de cette tragique histoire. J’ai retrouvé les grands moments du livre aussi.

Quand je vous dis que je suis en retard…mais: mieux vaut tard que jamais!

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