dimanche, novembre 04, 2007

La vie des autres....

Je ne vais pas vous parler de mes voisins, mais bien de cinéma! Un film que j'ai retardé un peu dans mes choix, faut quand même avoir la tête pour, parce que c'est pas jojo hein!

D'ailleurs les premiers 45 minutes m'ont lassée... la mise en place est un peu longuette mais bon... comment se mettre dans l'ambiance de la RDA autrement hein?

Qui n'a pas vécu l'État "protecteur" omniprésent a besoin de cette mise en place... Le pire c'est que ça commence au début des années 80 cette histoire!!! On ne parle pas des années 40!

Dès lors que l'agent ------ est touché par la vie du couple qu'il a mis sur écoute, dès lors qu'il s'ouvre à une sensibilité inconnue: la partie est gagnée! Mais ça... on ne le sait que vers la fin.

Au début des années 1980, en Allemagne de l'Est, l'auteur à succès Georges Dreyman et sa compagne, l'actrice Christa-Maria Sieland, sont considérés comme faisant partie de l'élite des intellectuels de l'Etat communiste, même si, secrètement, ils n'adhèrent aux idées du parti.
Le Ministère de la Culture commence à s'intéresser à Christa et dépêche un agent secret, nommé Wiesler, ayant pour mission de l'observer. Tandis qu'il progresse dans l'enquête, le couple d'intellectuels le fascine de plus en plus...


Cet agent pourtant compétent et convaincu, faillira à sa mission mais sauvera sa conscience et surtout verra le Mur tomber.

La belle actrice Christa après avoir été encore violée par un gros bonnet, elle n'aspire qu'à être blottie dans les bras de son amoureux!

Vraiment un film touchant, l'Être humain est vraiment de la marchandise pour certains et hélas... encore aujourd'hui en 2007!

La chute du film qui montre que le metteur en scène connaît l'identité de son sauveur... la discrétion qu'il adopte tout en étant à son tour "celui qui voit et qui sait" est magistrale au moment où l'ancien épieur/sauveur se retrouve clairement identifié, sous son nom de code en préface du livre de l'auteur... avec remerciements à la clé! Génial!

Sinon, j'avais passé la journée à faire un montage/photo qui a été jugé trop long, que j'ai dû reprendre, le couper en 2 parties, bref je m'y suis reprise au moins 6 fois. Ma soirée cinéma m'a permis de relaxer quoi!

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