lundi, avril 24, 2006

Zen le dimanche

J’ai bien profité du balcon en ce dimanche ensoleillé. Il y a bien eu quelques nuages mais parfois je les apprécient pour l’ombre salutaire qu’ils apportent.

Depuis jeudi; il y a une fête théâtrale à la salle municipale voisine, avec tout plein de jeunes et de voir la différence incommensurable du silence ambiant malgré tout: c’est une vraie jouissance. Il faut surtout pas que j’oublie l’enfer de l’ancien appartement hein? C’était tellement bruyant autour, ici je me retiens pour tousser quand je suis au balcon alors vous comprendrez que c’est interdit de roter ou péter tellement c’est calme!


Ça l’est peut-être un peu moins dans l’autre bâtiment. Les premiers rentrés sont un jeune couple qui reçoivent à souper très souvent, se couchent tard -ce qui est normal à leurs âges-, les deuxième sont un couple avec deux pré-adolescents. Pour le moment: ils sont calmes et polis. Il me tarde de voir qui seront les 3 autres familles.

Hier en allant désherber, j’ai rencontré une dame qui arrivait en vélo et qui voulait visiter le dernier condo qui n’est pas vendu. Son mari est musicien qu’elle me fait. Je l’ai assurée d’une insonorisation maximale mais bon…. J’ai juste oublié de lui demander de quel instrument il jouait, s’il avait un orchestre avec lui. On verra bien, hihihihi.

On discutaient, voyant que j’étais du Canada -T-shirt que je portait aidant- elle a voulu démarrer sur les phoques…. Iiiii. J’ai réussi à esquiver le sujet en rigolant sur autre chose, mais surtout en mentionnant qu’il faut pas tout croire. Je tiens à demeurer neutre sur ce sujet parce que je ne suis pas au fait. Si toutes les aberrations faites par les humains étaient portées aux nues par une Bardot et autre philantrophe animalier: la liste serait sans fin.

On a mangé dehors, j’ai fait pas mal de lecture, renchaussé les haricots beurre et les radis, regardé fleurir mon fushia, mes clématites qui ont déjà une tige qui tient sur l’espalier et maintenant: c’est terminé; je ne pivote plus les géraniums lierre et lierres, car je désire qu’ils entrelacent leurs tiges. À suivre.

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