mardi, avril 04, 2006

Plusieurs patronymes et sobriquets.

Au total je cumule 6 patronymes ou leurs combinaison. Celui de ma naissance, celui de mon oncle qui m’a élevée, jeune adulte j’ai accolé les deux en alternant l’ordre, à mon premier mariage en 1976: j’ai pris celui de mon mari. En 1981, une loi demandait qu’on reprenne nos noms de jeune fille. Ce fut la première fois que j’ai porté officiellement celui de ma naissance. Étant que mon oncle en m’inscrivant à l’école, l’avait fait sous son patronyme et tous mes papiers, dossiers scolaires l’étaient aussi.
Par là autour -1981-, j’ai fait du journalisme et ma cheffe a gentiment décidé d’accoler la première lettre en majuscule de mon nom de naissance suivi d’un trait d’union et de mon patronyme marital. Alors voilà pourquoi j’en ai eu autant.

Croyez-moi à mon 2e mariage: j’ai conservé mon nom de naissance. Fini, terminé la saga des patronymes!

J’ai aussi eu plusieurs surnoms -sobriquets-. On m’a donné le même prénom que ma maman, vu le drame de sa mort à ma naissance, la famille a plutôt opté pour m’appeler Loulou. Tous les gens croyaient que je m’appelais Louise, hihihihi!

Tous mes amis d’enfance et la famille me connaissent sous ce sobriquet. À l’adolescence qui correspondait à l’élargissement de mon cercle, lire: sortir de mon quartier qui logeait déjà l’école, j’avais de grandes amies qui habitaient toutes dans un autre quartier. Mes sorties d’adolescente se sont passées par là. Du coup, j’ai découvert toute une famille qui comptait 5 filles et 4 garçons, sauf erreur. Ils étaient comment dire… il y avait un lien de parenté un peu lointain mais réel. Un de mes oncle était le frère du monsieur et sa femme la cousine de ma tante mariée au frère de… vous me suivez?

Cette famille accueillait les amis chez eux, peu importe le nombre. Ce qu’on a passé de bons moments chez eux! Le papa, un homme d’une stature délicate, aimait bien nous lancer des blagues et une de ses meilleures dans mon cas fut de d’inventer un sobriquet dont j’avais horreur!!!!

Je viens d’apprendre sa mort. Évidemment je suis un peu en décalage avec la nouvelle. J’ignore si ces bons-bonnes amies viennent me lire, mais j’aimerais leur offrir toute mes sympathies parce que Bégator n’oubliera jamais monsieur Lucien!

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