La douleur éphémère.
Tout comme le bonheur, le malheur est un hôte à la fois passager et fuyant. Il arrive sans s’annoncer et emporte tout avec lui: espoir, naïveté et sérénité. Il nous laisse alors complètement désemparé. Mais son œuvre, bien qu’elle soit destructrice et violente, est toujours de courte durée.
Partant de ce principe universel, on peut arriver à survivre à l’envahisseur. Partant dans la même foulée sur le principe de partage, d’échange et de respect: ça se complique un tantinet.
Désolée amis, lecteurs, mais j’ai pas trop le moral; ce qui est normal à cette période de l’année pour moi, sans compter le rhume qui s’en va mais bien doucement et tout le reste qui m’agresse: c’était pour la rimette.
Sinon je vous conseille l’excellent calendrier de l’Avent qui lui sait bien remonter le moral!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire