samedi, juin 17, 2006

L'ombre indéniable du gros nuage gris.

La nuit faut agitée par de grands éclairs et le tonnerre qui va avec. Mais je crois pas qu’il soit tombé une seule goutte de pluie. Dommage car la terre en a bien besoin.

Le gros nuage gris qui tournoyait au dessus de nos têtes depuis 15 jours, est loin, les émanations négatives disparaîtront d’ici un jour ou deux j’imagine. C’est le temps qu’il me faudra pour me refaire, car les effets pervers, suite à l’exposition aux faces opaques, qui ne renvoient même pas une image, que des critiques ou pire; l’ignorance totale de ma personne. J’ai beau chercher, sur la période de 15 jours; je n’ai eu droit à aucune remarque positive, voire gentille.

Alors; selon une expression consacrée au Québec: Une chance qu’on s’a! Une chance que je vous ai, ici, vous mes amis, que vous laissiez des commentaires ou pas. Je sais que vous êtes là et ça me fait du bien. Mes nouveaux voisins sont aussi importants, car ils deviennent des amis ou à tout le moins; des gens qui font l’effort de me connaître et avec qui j’échange sainement.

Tout ça, plus mon esprit naturel positif fait que je peut laisser passer ce nuage gris et me refaire le moral gentiment. D’autres, chez qui passe aussi ce nuage gris n’ont pas cette chance. Mais ça c’est une autre histoire et j’y peut rien. Voilà.

J’ai promis une surprise à Sir Lancelot-du-Lac.


Évidemment, avec le Mondial de Foot; les façades sont décorées aux couleurs des équipes favorites des habitants des lieux. J'imagine que le drapeau du Brésil et celui de la Suisse ont été posés par les locataires au dessus de la Banque. Je vous prépare un petit reportage sur cette tradition. D'ici là: bon samedi à tous!

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