vendredi, novembre 07, 2008

Un signe?

J'en suis toujours aux choix aléatoires avec mon site de location. Cette semaine, comme la semaine passée... j'ai cru recevoir des films que j'avais déjà vus. Mais non!

Déjà vus parce qu'à force de trier mes choix, de lire les scénarios, d'avoir vu déjà les critiques à la télé, dans les journaux: c'est clair qu'il peut y avoir un sentiment de déjà-vu! He he! Puis parfois, avec l'âge-he oui-; j'en viens à douter de ma mémoire.

Bref, tout va bien! Autant du côté de ma mémoire que de ces films qui étaient inédits pour moi.

Pour une fois mon visionnement de la semaine s'est fait vendredi soir. Pourquoi?

Tout simplement parce que jeudi soir j'avais les coudées franches pour me gaver de musique! Mon chéri étant retenu au chantier jusque tard en soirée: j'en ai bien profité.

Après avoir même fait une lessive en rentrant du boulot, je me suis fait jouer en boucle ce que j'ai pu trouver d'Ariane Moffatt sur Deezer.

Je vous mets ce petit lecteur à disposition, vous n'avez qu'à cliquer sur play pour entendre!







Je sais pas vous, mais pour moi c'est bon de l'entendre, puis maintenant je la vois aussi ;) Tout ça parce que je l'ai vue, pour la première fois, dans Paris-Québec sur les Plaines!

Pour les Européens, patience: elle viendra bientôt vous montrer son talent!

Revenons à mon film si vous le voulez bien.

Nuits blanches à Seatlle. Sorti en salle en 1993; je l'ai trouvé tout à fait d'actualité encore aujourd'hui!

Une journaliste fleur bleue entend la voix d'un homme solitaire dans une émission de radio, et c'est le début d'une grande histoire d'amour compliquée à souhait.



C'est pas un film à grandes surprises, à grand déploiements, mais bien un film... magique!

On débute sur un drame familial, la mort de l'épouse, de la mère. Imprévisible perte.

La vie du père et du fils s'organise gentiment, tout va bien sauf que: le fils voit bien que son papa est triste. Lui aussi en fait. Il manque de quoi dans leur vie. Il tente le tout pour le tout en appelant un genre de tribune téléphonique à une station de radio. Et tout s'enclenche! Je n'en dirai pas plus.

Je dirai juste que j'aurais tant aimé que ce genre d'histoire arrive à mon papa. Qu'il trouve cet amour au déclic magique, qui fait qu'on a une deuxième chance de vivre le merveilleux que c'est de côtoyer un être exceptionnel qui nous complète magnifiquement.

Sauf que lui, il n'avait pas qu'un petit bonhomme, mais bien 14 enfants à gérer!

2 commentaires:

Venise a dit…

Un amour commun, toi et moi : Ariane Moffat. Du talent et mine de rien, beaucoup d'audace dans le corps talentueux de cette petite bonne femme.

Beo a dit…

Venise * Musicalement je l'ai tout de suite aimée.

Premièrement; j'adore Daniel Bélanger, ils ont la même audace musicale et aussi pour les textes. C'est fabuleux de les écouter.

Comme tu peut voir: je n'ai pas trouvé grand chose sur le site Deezer... des chansons que je connaissaient depuis un bon moment et quelques découvertes comme Farine 5 roses! Juste le titre m'a bien fait rire :)