Bon cop, Bad cop.

Un samedi passé au boulot et pas qu'à peu près! Souvent ce n'est qu'une demie journée, ou bien on termine tôt; ce soir je suis rentrée à 17h30. Comme un jour de semaine quoi! Ce qui a de bien c'est que je n'ai par manqué le soleil... la soirée d'hier s'est terminée en orages et averses pour se poursuivre jusqu'en milieu d'après-midi.

Par contre; je commence à manquer cruellement de temps pour plein de trucs; ça sent les vacances. Pourquoi? Parce qu'en fin d'année, comme en été: on est submergées de travail avant les vacances; je crois bien que ça ne changera jamais!

Alors ce soir, peu de plantes au balcon avaient soif-merci la pluie-, le temps de voir mes courriels, de manger un potage et j'avais bien envie d'une soirée cinéma!

Bon cop, bad cop est arrivé dans les choix de mon site de location depuis 3 semaines je crois. J'en croyais pas mes yeux! Je l'ai visionné ce soir! Le temps de taponner la mise au point de la version... au départ j'avais mis la version française. En fait il me fallait la version originale avec sous-titres...

La version française est arrondie dans les angles... avec les voix originales, hu hu! Comme quoi on peut le faire... sauf que: ça fait désordre.

Si David est à sa journée off... il n'est pas à son jour de repos bon! Rendue là... j'ai mis la vo. Puis bon... les sous-titres sont bien pratiques, n'étant pas totalement bilingue ;)

David Bouchard et Martin Ward ne pourraient être plus différents : l'un parle français et est originaire de Montréal, l'autre est un anglophone de Toronto. L'un obéit à la loi, l'autre fait la sienne.

Lorsqu'ils seront forcés de travailler ensemble sur une enquête dont la juridiction géographique est aussi nébuleuse que les motivations de l'auteur du crime, leurs différences vont à la fois mettre en péril l'enquête et les aider à élucider le mystère.

Pas tellement le genre de film que je privilégie, j'ai bien rigolé quand même et j'aurai besoin de le revoir une autre fois pour voir ce que j'ai loupé quand je baissais le son et que donc... la mignonne petite barre horizontale me cachait les sous-titres! C'est que ce film est en partie en français, en anglais et en québécois. J'avoue au passage... que l'anglais torontois est vachement difficile à suivre! Menfin... pour ce qui est des acteurs concernés!

Certaines scènes au ralenti ou en accéléré sont originales. La rivalité entre les deux agents, teintée d'indifférence chronique au départ, se termine dans une complicité touchante .

Huard a vraiment pas digéré la vente des Nordiques ;)

Il se joue de cet événement en trame de fond et on ne peut que se rappeler l'indignation vécue lors de cette transaction. Particulièrement quand on était fan des Nordiques... comme moi.

Le plus beau dans tout ça; c'est que le film a eu un acceuil chaleureux au Canada anglais et que ma foi: c'est une bien belle façon de présenter ce qui nous distingue du reste du Canada.

N'empêche... que malgré que je sois dans une période full sacres... -oui j'ai eu des périodes sans ou avec si peu...-; je sors de ce film avec non pas la fierté de nos sacres: mais plutôt celle de les partager: c'est si bon!