lundi, juin 02, 2008

Passionnée d'Histoire... suite!


Malgré que je sois une passionnée de l'Histoire, je n'ai rien planifié pour me rendre au 400e de Québec; ce qui ne m'empêche pas de suivre ça de loin. Particulièrement les articles traitant de l'Histoire culinaire, démontrant le choc culturel....... Le Chef Jean Soulard, que j'ai déjà vu en entrevue télévisée est un vrai passionné qui a préparé un volume très intéressant sur le sujet.

Cyberpresse n'étant pas très fiable quand au suivi d'un hyperlien à long terme, je copie/colle ce dont j'ai envie de partager avec vous!

400 ANS DE GASTRONOMIE À QUÉBEC (1ER DE 4)

Premier acte, un siècle de découvertes

Jean Soulard

Le Soleil

Collaboration spéciale

Québec

Le chef Jean Soulard a beaucoup appris en mitonnant son beau livre 400 ans de gastronomie à Québec, paru en début d’année. Nous lui avons demandé de résumer, siècle par siècle, les traditions culinaires qui ont marqué la colonie jusqu’à aujourd’hui. Durant un mois, dans ces pages, il partage le fruit de ses recherches et livre quelques recettes d’époque adaptées au goût du jour.

Je ne suis pas un historien, je suis un cuisinier qui aime l’histoire. Bien sûr, pour ce 400e anniversaire de Québec, ce fut un plaisir de plonger dans de nombreux ouvrages et de découvrir comment la gastronomie, ou plus simplement la nourriture a évolué tout au long de ces années.

Pour mieux comprendre ce que l’on mange aujourd’hui, il est important de se rappeler le quotidien des colons français fraîchement débarqués en Nouvelle-France. La majorité de ces immigrants provenaient du nord-ouest de la France, à savoir la Bretagne, le Poitou, la Normandie, le Perche, la Loire, Saint-Onge, l’île de France. Ils étaient pour la moitié d’origine citadine et pour la plupart artisans de métier. Bon nombre d’entre eux ont choisi ici de se recycler dans l’agriculture.

L’arrivée de ces nouveaux explorateurs a donné lieu à une mouvance de produits divers entre les deux continents. Maïs, haricots, plantes d’origine américaine ont commencé à être cultivés en France. Comme le confirme le récit de ces grands voyageurs, ceux-ci ne cherchaient pas seulement à conquérir de nouveaux territoires ou à accroître leurs connaissan­ces scientifiques, mais aussi à voir ce que ces nouveaux pays pouvaient leur apporter sur le plan culinaire.

4 commentaires:

Pur bonheur a dit…

C'est fou les échanges de graines de fleurs, de légumes,de fruits, d'arbres, d'animaux qui fut fait entre les deux continents dans les années 1600. Ce furent de belles années finalement.

Beo a dit…

Pur Bonheur * Quand j'étais bibliothécaire, j'avais eu un très beau livre, classé dans les documentaires sur ce sujet.

Abondamment illustré, ça nous détaillait tout ce qu'on doit à la culture amérindienne. Des choses parfois oubliées, finalement ça m'avait enragé que ce ne soit pas plus mentionné de nos jours.

C'est peut-être mieux depuis...

Anonyme a dit…

Bonjour Béo!

Le livre est aussi joli à voir qu'à regarder. On le voit partout sur les tablettes des libraires. Il semble se vendre comme des petites pains chauds.

Anne (Famille Gerdel)

Beo a dit…

Hellooooo Anne! Contente de te relire(ici); j'en doute pas une seconde pour le livre.

C'est le genre de livre que je dévore comme un roman!