Il est arrivé une chose rare en Suisse hier: il a neigé partout simultanément. Il paraît que c'est rarissime.
Hier matin je partais à 5h45, ce fut assez facile de dégager ma voiture vu que la masse de neige n'était pas gelée. Une belle grosse neige molle mais quand même lourde. Les routes n'étaient pas trop dégagées mais vu l'heure la circulation était fluide et j'ai trouvé que les gens étaient prudents. Puis, quand on a de bons pneus neige, y a pas de soucis hein!
Puis, il a vraiment neigé depuis la nuit de mardi, tout mercredi et il neige encore ce jeudi matin. En plaine elle ne tient pas vraiment et c'est plutôt de la pluie. Ici, pour une fois c'est tout blanc depuis mardi soir!
Le jardin voisin est magnifique et j'espère que ça va rester encore quelques jours.
À mon avis y a pas que Jean Charest qui peut dire ouf!
Peut-on souhaiter avoir la paix pour un bon gros 4 ans full plein hum???
Je suis à une très longue distance et j'en ai marre alors vous hein?
La campagne américaine interminable à souhaits, qui a connu son dénouement entre la campagne surprise canadienne, puis la campagne québécoise qui a failli vraiment être courcircuitée par les folleries de Harper!!! Ah lala... Un peu de paix avant Noël que diantre!
Obama est au pitstop.... Harper en standby... Pour Charest c'est le bonheur total! Mon voeux le plus cher est que tous les partis se liguent ensemble pour servir le Québec. Fini les chichis.
Soyons matures au Québec et laissons le taponnage à Ottawa, voire à Washington. Yep!
Sinon bon courage et prudence sur les routes... autant au Canada qu'ici!!!!
Du coup: je ne ferai aucun commentaire sur l'élection du Conseil Fédéral qui a lieu demain mercredi 10 décembre.... j'aurai la surprise en fin de journée en espérant que le bon sens aura court!
J'ai terminé la lecture de Sous les vents de Neptune.
Sur deux romans d'elle, j'ai lu un des premiers: Ceux qui vont mourir te saluent 1994, puis l'un des dernier: Sous les vents de Neptune, 2004. Dix ans et Cinq, sept, ou huit romans -selon les sources-, les séparent.
Il y a bien évidemment une belle évolution. Ce qui est certain; c'est l'art qu'elle a de nous amener avec ses personnages en plein coeur du récit.
Pour Sous les vents de Neptune, une sombre histoire qui ressurgit dans la vie d'Adamsburg, tout juste au moment où une partie de sa brigade prépare un voyage de formation au Québec. Une sombre histoire dont on saura tout au fil des pages.
C'est bien ficelé et ça m'a tenue en haleine du début à la fin.
Je sais... j'ai râlé sur son style d'écriture dans mon précédent billet sur son sujet. Dans ce roman, ce style a pris racine et la lecture coule bien. Sauf que.... c'est à se demander où donc elle est allée pêcher certaines expressions totalement loufoques dites québécoises.
En général, les européens arrivent à déceler la logique dans nos expressions. J'ai promis de faire un peu de lumière sur celles utilisées dans ce bouquin, suite à des commentaires teintés d'étonnement incrédule sur ceux-ci. Et ces personnes ont bien raison de douter de la véracité de ces expressions.
Soit je connais mal les expressions utilisées dans l'Outaouais , qui n'est vraiment pas la région que je connais le mieux, soit il y a eu distorsion dans la mémoire de madame Vargas, soit elle a été vraiment mal conseillée.
En voici quelques-unes:
-Tais ton bec.... au lieu de ferme ta boîte ou ferme ta gueule
-Assis-toi dessus et tourne.... celle-là; j'arrive tout simplement à trouver, si quelqu'un sait...
-Moment donné... quand il faut dire: un moment donné, que personnellement je tronque pour dire manné :)
-Accroire... utilisé aux mauvais endroits.
-Slaque... grand slaque est traduit par: le grand mou déginguandé, quand on sait que c'est plutôt pour définir une personne mince, grande et efflanquée.
-Faire péter les bretelles, devient pratiquement synonyme de burn-out. Personnellement je connais l'expression qui dit qu'on prends les autres de haut ou bien qu'on rit tellement que...
- Le tu est sur employé: Pourquoi tu portes-tu 2 montres?
- Avoir du front tout le tour de la tête ou du toupet devient: avoir du casque!
Et je passe sous silence le cliché de la chasse aux phoques qui figure en page 9!!!
Il faut bien comprendre que le joual n'a pas qu'un seul lieu qui serait global, mais bien des particularités régionales qui sont très différentes parfois. Personnellement le joual de Michel Tremblay n'est pas le mien. Mais de là à divaguer et inventer n'importe quoi au lieu de se référer soit à des gens qui connaissent ou aux ouvrages qui sont publiés et disponibles; je trouve que madame Vargas est allée dans la facilité douteuse... qui marque un manque de respect pour ses lecteurs. Voilà!
Voici quelques commentaires de lecteurs:
Bonne intrigue, quoique de facture classique. des personnages bien campés et originaux. Mais.... la "parlure" québécoise est totalement loufoque! Des expressions qui n'existent pas, ou qu'on utilise incorrectement. Elle s'est inventé son petit dialecte québécois. Dommage, parce que de ce côté ci de l'Atlantique cela nuit à la lecture et gâche le plaisir. Pierre.
Excellent! J'avais hâte d'allaiter au milieu de la nuit pour pouvoir lire encore. J'ai beaucoup aimé les personnages féminins: Régancourt, Clémentine et Josette. Par contre j'ai eu de la difficulté à comprendre le québécois?!? (on se demande bien pourquoi...) Nicole.
Sous les vents de Neptune: très bon J'ai adoré. Rarement on voit un polar avec des personnages aussi riches... Je suis folle d'Adamsberg et Danglard, Danglard, qu'est-ce qu'on est soulagés à la toute fin de savoir que .... Je N'ai toujours pas compris la grogne de Homier-Roy à propos de l'Accent québécois; moi je trouve que c'est bien rendu; il ne faut pas oublier que ça se déroule dans l'Outaouais, lieu du Québec où le langage est incompréhensible pour le reste des québécois et de la planète... ensuite, Vargas a le droit d'inventer un langage qui lui semble du québécois.. Jacqueline. Bin kin!
Par contre elle a réussi de belle manière à restituer les traits de caractère des personnages canadiens. En fait Jacqueline a raison: vaut mieux oublier que ça se passe au Québec, hu hu!
La pluie est là pour nous accompagner durant toute la fin de semaine. Autant faire des lessives, du rangement et j'en ai profité pour débuter nos décorations de Noël. Si la tendance se maintient, je n'ai rien de nouveau à acheter, juste à placer ce qu'on a déjà.
Même que j'ai ressorti ma petite rue illuminée que j'avais pas envie de mettre l'année passée. On va se mettre dans l'ambiance gentiment! Mon chéri avait son souper de boîte ce soir. De mon côté: j'en ai profité pour me faire une petite raclette individuelle ;)
Demain, si ça ne souffle pas trop et que c'est pas trop déluge non plus: j'aimerais bien mettre mes décos lumineuses au balcon.
Il paraît que par ici, la possible récession n'empêche en rien les gens de courir les boutiques et de faire autant d'achats, sinon plus que l'an passé.
Il y a aussi des petits astucieux qui offrent une 2e voiture lors de l'achat d'une voiture neuve. Mais on dirait que Joe Bin a trouvé mieux encore!!!
Pour la 3e fois aujourd'hui, j'ai mangé mes petites ailes de poulet du Mc Do. Vous comprendrez que je les ai vraiment adoptées et surtout que j'étais vraiment en manque du bon goût de poulet rôti! L'association de satisfaction va même plus loin: pour la 3e fois c'est avec un petit jus d'orange Tropicana que j'ai dégusté le tout.
Au Dixie-Lee, je prenais toujours une Crush à l'orange ;)
Par contre aujourd'hui c'était une sortie spéciale vu que je suis en congé. Je voulais aller au Casino le Mc Do est tout à côté, acheter un truc qui me manque depuis 10 ans :
Quand j'ai vu sur leur publicité ces jolies boîtes de 10 cannes de bonbons, je me suis dit qu'il fallait absolument que j'aille m'en chercher. J'en ai acheté 3 boîtes, ce qui devrait me contenter et me faire oublier mes dix années sans.
Et puis demain je suis libre durant 2 bonnes heures au midi, il est bien possible que j'aille me chercher des petites ailes pour manger dans ma voiture!!!
Ce jeudi on est/sera le 4 décembre alors:
Bonne Fête à mon grand qui a 23 ans aujourd'hui! XxXxXx!
Déjà décembre et ses jours si courts qu'une simple percée de soleil est prise comme un grand cadeau.
Le Jura a conservé son manteau blanc, visible d'ici, il fait -3°C avec le facteur vent.
Je trouve qu'AnthonyHopkins est toujours impressionnant dans ses rôles. C'est encore le cas dans le film: Instinct
EthanPowell, brillant primatologue, a vécu dans la jungle rwandaise une expérience limite qu'aucun être civilisé n'avait jamais connue. De ce mystérieux voyage initiatique, conclu dans un bain de sang, Powell est revenu brisé, hagard, muré dans un silence obstiné. Accusé d'avoir tué trois gardes forestiers, l'"Homme perdu" a été transféré à la prison d'HarmonyBay. TheoCaulder, psychiatre à l'université de Miami, se voit confier l'expertise de l'état mental de Powell. Compétent et ambitieux, Theo voit là l'occasion de se faire un nom et de devenir célèbre.
Le suspense est à peu près inexistant dans ce film. On se doute bien qu'Ethan a frayé avec les gorilles, je trouve par contre que cette cohabitation n'est pas allée très loin. Juste de la proximité silencieuse, sauf au moment ou Ethan sauve un bébé de la fusillade.
Les séquences tournées à la prison d'HarmonyBay m'ont rappelée Vol au dessus d'un nid de coucou pour ce qui est de la présentation des personnages et de l'ambiance.
Le psychiatre joué par Cuba GoodingJr est celui qui étonne le plus à mon avis. Reste une excellente interprétation de la part d'AnthonyHopkins, des paysages magnifiques d'Afrique et une finale positive.
Moi qui ai toujours eu une préférence pour le vin blanc, voici enfin une étude sérieuse!
En fait je bois très peu de vin, tout en ayant une préférence pour le blanc, comme avec une bonne raclette ou une fondue au fromage. Le vin rouge c'est encore plus rare et pour finir j'en ai toujours sous la main mais il sert plus à cuisiner qu'autre chose.
Vous avez remarqué que quand on interroge une personne centenaire on lui demande toujours sa recette de vie. La recette qui l'a menée à un âge si avancé et particulièrement si la personne est encore alerte.
Voici quelques statistiques intéressantes:
En Suisse il y a 2,700 jubilaires! Ils étaient 56 en 1960. Presque la moitié de ces personnes de grand âge vivent encore à domicile.
Chacun a un parcours de vie unique, surtout: les conditions de vie, les avancées médicales font quand même une grande différence pour chaque personne arrivant à franchir le cap de leur 100e année. C'est ce que je nous souhaite!
Pour ceux qui en ont marre de voir mes fleurs: faut pas cliquer sur le diaporama hein!
Sinon, c'est une rétrospective de mon année 2008 au balcon, ça me fait toujours du bien de regarder ça maintenant que la plupart des plantes sont en hibernation ou plus simplement mourues ou jetées.
Car j'ai eu des ratés, des expériences qui se sont avérées plus ou moins heureuses pour un balcon mais en majorité: je vais repartir avec plein de choses intéressantes au printemps prochain. Et pour la première fois, le balcon a encore tout plein d'habitants qui vont passer l'hiver au repos ou bien encore à pousser gentiment comme l'ail, le poireau et l'oignon.
Ainsi, le fiston qui regarde nonchalamment la télévision de cette manière, zappe jusqu'à ce qu'il tombe sur les infos qui annoncent la catastrophe ferroviaire. Son père était dans ce train!
Une preuve irréfutable sera vue de cette manière aussi par Elijah
Elijah Price souffre depuis sa naissance d'une forme d'ostéogénèse. S'il reçoit le moindre choc, ses os cassent comme des brindilles. Depuis son enfance, il n'a de cesse d'admirer les superhéros, des personnages qui sont tout l'opposé de lui-même. Propriétaire d'un magasin spécialisé dans les bandes-dessinées, il épluche pendant son temps libre les vieux articles de journaux à la recherche des plus grands désastres qui ont frappé les Etats-Unis. Il se met alors en quête d'éventuels survivants, mais y parvient rarement.
Au même moment, un terrible accident ferroviaire fait 131 morts. Un seul des passagers en sort indemne...
On est habitués de voir Bruce Willis dans des films avec un peu plus d'action. J'ai trouvé le début un peu lent mais on comprends qu'il faut le temps de nous mettre en situation. N'empêche que David a une vie plus que rangée. Taciturne et peu enclin à la tendresse, on découvre son couple et on se demande presque comment ils ont réussis à avoir un fils...
Au tout début on découvre la naissance d'Elijah, bébé déjà marqué par de multiples fractures! On se prends de pitié pour ce jeune garçon qui plus tard aura vraiment du mal à avoir une vie normale à l'école. Un rien lui vaut fractures des os, sur fracture des os. Il en viendra avec la ténacité de sa mère à vivre par procuration l'extraordinaire des héros de BD. Ces héros qui ont tous des dons fabuleux mais aussi une faille inévitable.
D'un autre côté, comme Joseph, on voudrait voir son père s'agiter un peu plus. S'impliquer un peu plus que de juste aller au boulot, le faire et rentrer le soir.
Au moment où il découvre véritablement ses dons, David commence à basculer dans un univers tout nouveau pour lui: il a la possibilité d'interragir sur les événements. De se faire justicier même! Il en retirera une grande fierté qu'il partagera avec son fils. Sauf que, pour ce faire il aura fallu qu'il en vienne à tuer.
Décidant d'aller rencontrer Elijah une dernière fois, histoire de le remercier. Il découvre avec horreur que celui-ci a déjà des centaines de morts sur la conscience, et tout ça pour le débusquer, lui!
˙˙˙sǝɔuǝɹɐddɐ sǝl ɹns sésɐq ʇuos ʇuǝʌnos doɹʇ ınb sʇuǝɯǝƃnɾ sou ɹǝsıʌéɹ à ǝuèɯɐ snou ınb 'ʇuɐʇnoɹép éʌnoɹʇ ıɐ,ɾ ǝnb ɯlıɟ un
J'ai quand même bien réussi à terminer ma semaine de boulot, malgré le froid et tout ce qui fait que l'ami rhumatisme était accompagné de ses autres copains. On ajoute à tout ça des plannings légèrement tordus, soit à la base, au centre ou bien sur la fin de la journée.
Malgré tous mes maux physiques, je remercie le ciel -et la génétique- qui m'a dotée d'une capacité énorme, qui bien que malmenée, tient encore le coup. Pour peu qu'on me laisse le temps de régénérer tout ça et reposer la machine.
J'ai su faire des pauses-pof pof- à la rue, bien habillée et parfois en squattant des bancs d'arrêts de bus.
Ce midi: pas question de faire un pas de plus que nécessaire. Je ne suis donc pas allée à la pizzeria avec les autres. J'ai opté pour le Mc Do. Oui, oui... j'ai bien écris Mc Do...
C'est que mardi, durant notre euh... on dira heure et demie de poirottage, ma collègue Mo. et moi on est allées se réchauffer au Mc Do. J'ai dégusté un chausson aux pommes-ça devait bien faire 5 ans que j'en avais pas mangé-, un Minute Maid-qui depuis est transformé en Tropicana ;)-, pour moi c'est idem, ou presque.
Mais surtout..., dans leur menu en photos au dessus des caisses: j'ai repéré du poulet rôti!
Donc ce midi: j'avais prévu d'aller y voir de plus près. Je n'ai pas été déçue! Six petites ailes de poulet rôties à point, sans trop de gras, un goût qui ne sera jamais comparable au Dixie Lee mais qui en est le plus approchant à date! Je me suis régalée quoi!
J'étais au chaud, j'ai bien mangé, à pas cher et j'ai eu tout le temps pour aller fumer en attendant les autres.
À voir des mendiants, d'autres fumeurs à la rue comme moi: je vous assure qu'il ne faut pas se prendre la tête et prendre ça comme ça vient: ça donne un genre de solidarité. J'ai quelques bancs de parcs par là où je peut me poser. J'en ai visé un, à l'abri du vent et avec un filet de soleil.
Juste avant, j'étais retournée chez La Durée. Le vendeur m'avait promis une boîte qui faisait vitrine il y a 15 jours. Il y a 15 jours cette promesse m'avait été faite lors d'un achat.
Qui me connaît sait que je craque plus pour les boîtes que pour leur contenu parfois...
Le vendeur était absent. Mais les vendeuses commencent à me connaître un peu. J'ai logé ma requête et la dame a eu la gentillesse de m'en offrir une, comme promis par son collègue: gratos!
Je l'ai assurée que je reviendrais tout bientôt m'en chercher une pleine de macarons prochainement. Ce que je ferai probablement lundi prochain car je suis encore dans ce quartier.
Je suis donc rentrée de Genève avec cette belle boîte, vide mais aussi précieuse à mon sens. Avec aussi de belles pantoufles méga chaudes et doublées pour les soirées à me les geler à l'ordinateur parce que 2 fumeurs... demandent une forte aération des locaux :)
Et la cerise sur le sundea: une belle rencontre au Centre d'achats!
Il s'agit d'une dame qui me fait tellement penser à une de mes tantes. Réceptionniste chez un client, elle a pris sa retraite et me manque un peu quand on va chez eux. C'est la 2e fois que je la rencontre mais ce soir: ce fut un aller-retour en ascenseur pour avoir le temps de se jaser comme il faut. Cool!
Des moments rarissimes et doux comme du velours au coeur!
...dire que je voulais vous parler du film que j'ai vu ce soir... bah! Ce sera pour demain!
À propos... demain: on sera le 28!
Je glisse donc en terminant cette petite vidéo à l'intention de ma grande fille qui fête son 27e anniversaire!
C'est dans un peu plus de trois heures pour vous chers compatriotes. Deux heures de débats officiels... après une campagne où les coups bas ont eu la large place. La routine habituelle quoi!
Spencer Armacost, astronaute à la NASA et Jillian, sa femme, sont passionnément amoureux l'un de l'autre et la distance qui les sépare au cours des voyages de Spencer semble encore les rapprocher. Or un jour au cours d'une mission spatiale de routine, une explosion survient et le contact entre la navette spatiale et la Terre est rompu pendant deux minutes. Quand Spencer retourne sur Terre, malgré sa joie, Jillian reste inquiète. Elle est sujette à de sombres pensées et d'affreux cauchemars. C'est alors qu'elle découvre qu'elle attend des jumeaux.
Sorti en salle en 1999, c'est un autre film qui fait partie de mon trou noir cinématographique :)
Depuis que j'ai vu Charlize Theron dans Braquage à l'italienne; je suis tombée en admiration envers cette actrice. La palette d'émotions qu'on peut voir sur son joli visage dans ce film est époustouflante.
Faut dire que pour Johnny Depp c'est totalement le contraire. Impassible après son retour de l'espace on a du mal à reconnaître l'amoureux transi du début du film. C'est précisément sur ces différences de comportement, si subtils soient-ils que Jillian verra le vrai visage de son mari.
Un peu trop prévisible comme scénario, heureusement sauvé par ces deux acteurs que j'aime beaucoup!
Mais là n'est pas mon propos. En fait, j'ai renoué avec le style de James Cameron avec le documentaire sur le Bismarck, dans lequel on reconnaît la rigueur scientifique de ce cinéaste fabuleux qui a donné toute sa dimension au film Titanic.
Il n'est pas trop intéressé de filmer pour filmer. Pour ce documentaire, l'enjeu principal était de percer à jour la véritable raison, le véritable responsable qui a fait couler ce méga cuirassé hitlérien. Un mystère qui sera élucidé en gros, grâce à la technologie à la fine pointe du XXIe siècle.
Grâce aussi à quelques survivants et rescapés de ce cuirassé. Il y a des moments forts en émotion car en plus, Cameron a fait en sorte que le bateau russe qui mène cette mission de tournage à bien, effectue exactement le même trajet, à la minute près parfois, trajet qu'a fait le Birsmack il y a 60 ans en arrière. Tellement qu'à quelques reprises les 2 survivants qui sont à bord, font quelques pauses commémoratives hautement empreintes d'émotion.
Le navire, fleuron de la Kriegsmarine d'Hitler, a été envoyé par le fond le 27 mai 1941 par la Royal Navy. Ce drame, au cours duquel périrent 2805 marins allemands, fut l'épilogue d'une incroyable course poursuite au cours de laquelle le Bismarck, célébré comme le plus puissant navire de guerre européen, avait coulé le croiseur de bataille HMS Hood (1412 morts), fierté de la Grande-Bretagne. L'Amirauté anglaise mobilisera toutes ses forces disponibles pour balayer l'affront et pour empêcher le Bismarck de faire des ravages dans l'Atlantique nord. Des dizaines de navires participeront à la traque, dont les porte-avions Victorious et Ark Royal ainsi que les cuirassés King George V, Prince of Wales et Rodney. Le gouvernail détruit par la torpille d'un avion Swordfish, le cuirassé allemand sera finalement rattrapé et écrasé par des forces anglaises nettement supérieures. Son épave repose aujourd'hui par 4800 mètres de fond.
Témoins et thèse du sabordage
Brillamment réalisé par James Cameron, l'Expédition Bismarck fait appel à des historiens renommés et des témoins de l'époque. Ainsi, deux rescapés allemands accompagneront l'équipe jusqu'au lieu du désastre, racontant les dernières heures du cuirassé. Pour réaliser ce superbe documentaire, Cameron a fait appel, comme pour son film sur le Titanic, au navire océanographique russe Keldysh et ses deux sous-marins Mir 1 et Mir 2. Les deux submersibles rapportent de superbes clichés de l'épave du Bismarck. Les images intérieures sont quant à elles obtenues par les petits robots ROV. L'ensemble du récit est accompagné de reconstitutions très réussies en images de synthèse. La fin de ce documentaire est également très intéressante d'un point de vue historique. L'inspection de la coque ne révèle en effet aucun impact de torpille ayant perforé le blindage du navire. Les Britanniques avaient pourtant affirmé que le coup mortel avait été porté par une gerbe de torpilles du croiseur lourd HMS Dorsetchire. L'absence de brèche relevée par Cameron et son équipe démontre le contraire et appuie la thèse évoqué par les survivants. Une fois les officiers de la passerelle tués et toutes les pièces mises hors de combat, l'équipage aurait décidé de saborder le navire. D'un déplacement de 52.000 tonnes à pleine charge, le Bismarck est lancé le 14 février 1939 par les chantiers Blohm & Voss. Long de 251 mètres, il était armé de 8 pièces de 380 mm en quatre tourelles doubles, 12 pièces de 150 mm en six tourelles doubles et 16 pièces de 105 mm en huit montages doubles. Le plan du Bismarck sur Discovery Chanel
Je suis encore impressionnée par ce documentaire et encore plus par la tâche colossale qu'eurent ceux qui ont participé à cette attaque de sauvetage de la paix. Il n'était pas question de laisser ce cuirassé entrer en eaux internationales. Ils ont réussi, pour la plupart d'entre-eux: ce n'étaient que des jeunes de moins de 20 ans. C'est fou!
Vraiment, ça fait un petit moment que je voulais vous montrer le petit érable du voisin. Je l'aime et l'observe autant que si c'était le mien.
Il a bien poussé cette année et il s'est paré de magnifiques couleurs, le tout aura bien duré plus d'un mois.
Et puis un bon matin.... ce samedi matin en l'occurrence: il a l'air tout dépouillé dans cette fine couche de neige nouvelle.
Et oui, à mon réveil j'ai constaté que la neige avait fait son oeuvre. Un joli 10 cm qui a bien fondu, sauf aux endroits qui sont restés à l'ombre en ce beau samedi ensoleillé.
C'est donc notre première neige de la saison, une vraie journée froide pour faire mijoter de bonnes fèves au lard!
Je voulais vous montrer mon nouveau plat en pyrex: un trophée de Coop qui nous revient qu'à 16 francs avec les points amassés. C'est le format idéal pour ma recette de beans!
Je suis Québécoise, je vis en Suisse, à 500 mètres d'altitude. Joviale, j'aime bien rigoler, discuter avec les gens. Je ne supporte pas les hypocrites qui se croient forts en agissant par derrière et qui détruisent tout sur leur passage.
Hier matin je partais à 5h45, ce fut assez facile de dégager ma voiture vu que la masse de neige n'était pas gelée. Une belle grosse neige molle mais quand même lourde. Les routes n'étaient pas trop dégagées mais vu l'heure la circulation était fluide et j'ai trouvé que les gens étaient prudents. Puis, quand on a de bons pneus neige, y a pas de soucis hein!
Puis, il a vraiment neigé depuis la nuit de mardi, tout mercredi et il neige encore ce jeudi matin. En plaine elle ne tient pas vraiment et c'est plutôt de la pluie. Ici, pour une fois c'est tout blanc depuis mardi soir!
Le jardin voisin est magnifique et j'espère que ça va rester encore quelques jours.
