La neige a disparu, malgré le froid et quelques flocons qui ont bien tenté de reblanchir les prés. Ce n'est pas le soleil qui a fait son oeuvre ,car la plupart du temps il reste caché sous l'épaisse couche de stratus.
Loukoum s'en est donné à coeur joie au balcon, il aime bien aussi quand il peut mettre son pif dans un autre angle, comme ici du côté jardin.
C'est toujours intéressant d'avoir un autre point de vue et il faut aussi vous dire que tout plein d'oiseaux s'égaient au jardin.
Grise semaine donc, quand je suis à la maison, ma lampe fait la différence au niveau de la luminosité et je l'aime toujours autant!
Mes jacinthes embaument et je me demande bien pourquoi on ne voit jamais de produits parfumés de cette essence???
Janvier file à grands pas vers la fin, je vais travailler samedi encore mais finalement c'est moins embêtant à ce temps-ci de l'année. Samedi passé j'ai pu déguster mon hot-dog dehors. Bien habillée, j'ai profité d'un beau rayon de soleil, ensuite j'ai fais les soldes à Genève et mon moral était bien haut ;)
Il y a quand même une chose qui me chicotte depuis décembre. Comment une personne qui me côtoie que depuis 3 mois, peut-elle me faire la tête à chaque fois que mes paroles la contrarient?
C'est rendu que je l'évite et puis on ne peut être plus clair qu'elle quand elle déclare devant tout le monde à la pause ou au restaurant que je l'emmerde! Pour elle je suis une emmerdeuse!
La première fois, mon réflexe a été de lui dire: toi même!
Mes deux collègues habituelles sont un peu choquées par ça car on s'entend très bien et on a toujours réglé les différents par des discussions; chacune prenant ses torts quand c'est le cas. Autrement-dit une relation d'adultes.
Avec la nouvelle ce n'est absolument pas le cas. Surtout, je comprends bien que ce n'est pas moi vraiment le problème. Si mes deux autres collègues arrivent encore à passer sous silence les affronts qu'elles subissent, moi elle me prends tellement de front et de court que c'est pas possible.
Quand dans un bureau elle se mets à faire la pipelette de bistrot au sujet des gens qui sont juste à côté, je suis désolée mais ça contredit le principe de base de discrétion qui nous est dévolu. Alors même si je lui dit tout doucement que *je ne veut pas le savoir, elle m'accuse de recommencer et déclare qu'elle ne me parle plus dorénavant. Euh.....
Recommencer.... comme si je jouais un rôle dont le but était de l'embêter! C'est particulièrement désagréable comme comportement, personne ne peut rien lui dire, je n'ai pas vraiment connu le syndrome du: -je ne suis plus ton amie-, qui a court dans les premières années scolaires. Mais de faire face à un pareil comportement à plus de 50 ans; c'est totalement débile!
* c'est la 10 version employée pour lui signifier qu'on ne discute pas des clients dans les bureaux..... à quelle version comprendra-t'elle ce principe tout simple?????
Grise semaine donc, quand je suis à la maison, ma lampe fait la différence au niveau de la luminosité et je l'aime toujours autant!
Mes jacinthes embaument et je me demande bien pourquoi on ne voit jamais de produits parfumés de cette essence???
Janvier file à grands pas vers la fin, je vais travailler samedi encore mais finalement c'est moins embêtant à ce temps-ci de l'année. Samedi passé j'ai pu déguster mon hot-dog dehors. Bien habillée, j'ai profité d'un beau rayon de soleil, ensuite j'ai fais les soldes à Genève et mon moral était bien haut ;)
Il y a quand même une chose qui me chicotte depuis décembre. Comment une personne qui me côtoie que depuis 3 mois, peut-elle me faire la tête à chaque fois que mes paroles la contrarient?
C'est rendu que je l'évite et puis on ne peut être plus clair qu'elle quand elle déclare devant tout le monde à la pause ou au restaurant que je l'emmerde! Pour elle je suis une emmerdeuse!
La première fois, mon réflexe a été de lui dire: toi même!
Mes deux collègues habituelles sont un peu choquées par ça car on s'entend très bien et on a toujours réglé les différents par des discussions; chacune prenant ses torts quand c'est le cas. Autrement-dit une relation d'adultes.
Avec la nouvelle ce n'est absolument pas le cas. Surtout, je comprends bien que ce n'est pas moi vraiment le problème. Si mes deux autres collègues arrivent encore à passer sous silence les affronts qu'elles subissent, moi elle me prends tellement de front et de court que c'est pas possible.
Quand dans un bureau elle se mets à faire la pipelette de bistrot au sujet des gens qui sont juste à côté, je suis désolée mais ça contredit le principe de base de discrétion qui nous est dévolu. Alors même si je lui dit tout doucement que *je ne veut pas le savoir, elle m'accuse de recommencer et déclare qu'elle ne me parle plus dorénavant. Euh.....
Recommencer.... comme si je jouais un rôle dont le but était de l'embêter! C'est particulièrement désagréable comme comportement, personne ne peut rien lui dire, je n'ai pas vraiment connu le syndrome du: -je ne suis plus ton amie-, qui a court dans les premières années scolaires. Mais de faire face à un pareil comportement à plus de 50 ans; c'est totalement débile!
* c'est la 10 version employée pour lui signifier qu'on ne discute pas des clients dans les bureaux..... à quelle version comprendra-t'elle ce principe tout simple?????
6 commentaires:
Curieux, comment ton billet a deux parties qui m'ont semblé distinctes. On commence tout doucement avec Loukoum qui symbolise toute l'observation sereine de la nature, et puis tout à coup, au travail, la nature humaine enflamme.
J'avoue qu'une situation avec ce genre de personne immature est infernale. Ça mine l'ambiance de tous j'imagine. Vous avez pas des réunions pour vous parlez tous ensemble, afin d'éviter l'affrontement direct, juste pour qu'elle comprenne certaines règles déjà établies. Je dis ça comme ça, en ne connaissant pas toutes les données. Pas drôle, en tout cas, je compatis.
Venise * Dans ce billet, j'utilise une stratégie pour tromper l'ennemi, hihihihihi!
La première partie démontre ce que je fais, pratique, prône pour évacuer le négatif. La deuxième aussi mais en l'écrivant pour annuler l'effet pervers des idées noires.
Personnellement quand c'est possible: c'est le genre de personne que je fuis comme la peste. Présentement c'est impossible.
Le pire c'est que mes autres collègues sont bien d'accord avec les effets pervers, que pour le moment de faire la couleuvre leur va et que c'est prouvé que jamais elle ne monteront au front avec moi. Pourquoi?
Parce que ce n'est pas usuel ici ce genre de conversation qui fait le point positivement.
Ici, accepter ses torts ou juste être conscients d'en avoir parfois, on dirait que ça équivaut à une capitulation à une décapitation. Bref le climat ne favorise aucunement une telle démarche.
Je peut te dire que quand on a l'habitude de tuer dans l'oeuf ce genre de problème: c'est encore plus difficile à vivre.
Autrement, quand je ne suis pas concernée comme maintenant: c'est moi qui fait la médiatrice alors.... dur dur de m'en trouver une pour moi!
Ah le travail où il y a des femmes! Une longue histoire..
J'ai une collègue quand tu arrives le matin te dis "bonjour" sur un ton qui n'a plus la même signification du " bon jour". Sans compter les remarques désagréables ou les messes basses avec d'autres collègues. C'est pénible de travailler dans cette ambiance. Pour moi, c'est pire que la maternelle. J'ai décidé de faire mon travail et rester polie. Mais il ne faut pas me chercher car là je...mords ! ;-)
Coco * C'est dans ces moments là que je mesure mon évolution personnelle au niveau de la patience et du tact.
Être au Québec..... elle aurait goûté à une médecine plus directe je t'assures.
En 11 ans ici,il n'y a que 3 personnes sur qui je n'ai pas pu résister.... le bien que ça fait mais ce n'est pas une solution par ici.
Je compatis pour ton ambiance pourrie au bureau par cette personne, mais c'est bien vrai qu'en général vaut mieux se tenir à carreau...
J'espère que ça va s'arranger pour toi avec ta confrère. Parfois c'est assez pour nous saper l'énergie toutes ces ondes négatives.
Au fait, Mandy n'écrit plus dans son blog. Elle n'a plus le net? Comment va-t-elle?
Pur Bonheur * Pour saper.... ça sape!
L'essentiel c'est que les autres commencent à allumer et de ce fait: elle n'aura pas gain de cause dans ces conneries qui énervent tout le monde. Moi; ça m'encourage.
Mandy n'a pas le Net depuis son déménagement dans leur maison et est bien occupée avec l'installation et les deux gars. Mais elle va très bien et reviendra probablement bientôt donner de ses nouvelles sur son blog ;)
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