mardi, mars 15, 2011

Les 7 jours du Talion

Après avoir regardé le Gala des Jutras en différé, sur le site de Radio Canada qui nous l'offrait en entier: tout de même plus de 2h30; ça m'a donné envie de tenter l'expérience du streaming.

Depuis des mois que je vois mon chéri regarder des films de cette manière alors..... pourquoi me priver?

Il s'est fait des dizaines de films au Québec en 2010 et si j'ai de la chance je pourrais en voir un ou deux en DVD. J'ai toujours eu peur de chopper des virus ou autres cochonneries, avec le streaming: malgré tout je me suis lancée aujourd'hui.

Après 5150, rue des Ormes, j'avais grande envie de voir un autre Senécal: Les 7 jours du Talion.

Bruno Hamel, chirurgien, aspire à une vie paisible avec sa femme et sa fille Jasmine, jusqu'au jour où cette dernière est kidnappée et violée.
À partir de ce moment, il décide que la justice est insuffisante pour lui et enlève le violeur le jour de son procès.

Il envoie une note aux policiers spécifiant qu'il va torturer le monstre pendant sept jours, qu'il l'exécutera et qu'ensuite, il se rendra aux policiers pour faire face à la justice.


Sur cette page où Claude Legault qui joue le rôle du tortionnaire, souhaite que le spectateur aie pitié aussi de l'assassin de sa petite fille, je dirai que pour ma part il n'en est pas question. Autant durant la lecture de ce thriller, que dans le visionnement de son rendu magistral au grand écran: non je n'ai pas pitié, sans pour autant souhaiter que tous les pédophiles subissent un tel traitement!

Vraiment; j'ai été subjuguée par le rendu du film. Même en sachant l'histoire, le fait qu'il y aie peu de couleurs, aucune note de musique et si peu de dialogue nous amène à remarquer la force des comédiens. Un grand film!

2 commentaires:

Unknown a dit…

Je l'ai pas vu encore celui là. J'ai vu 5150 rue des Ormes... j'ai un peu peur d'être déçue.

Beo a dit…

Looange * Oh non je t'assures! C'est très rare que je ne compare pas aux livre quand je vois le film mais lalà.... franchement: c'est super bien fait. Et brrrrrrrrr, ça fait froid dans le dos!