Tout au long des 263 pages, on traverse ce roman avec un sourire permanent d'accroché au visage.
Un portrait de la faune du Carré St-Louis et de la société contemporaine de Montréal se glisse dans la vie de cet écrivain.
Il lui aura suffit de lâcher le titre de son futur roman pour attirer à lui une jeunesse japonaise d'origine qu'il se plaît à côtoyer.
Le problème c'est que ce titre, accrocheur, a aussi attiré l'attention de toute la société japonaise qui se démène dans tous les sens pour en savoir plus sur ce livre et son auteur. Le délire nippon est pourtant alimenté par un livre qui n'est pas écrit, pourtant ce livre... on l'a entre les mains!
De vrais retrouvailles avec Dany Laferrière, maître de la déroute contrôlée, du délire tout ce qu'il y a de plus sérieux, de la prise en main du dérisoire!
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