Gaspésie-Carnets

Pour ne pas être en reste, voici venu le moment de partager avec vous quelques images de ces rencontres courues de par le monde. Celle-ci se déroulait en Gaspésie. Déjà, pour la route: faire un grand nombre de kilomètres sur la 132 qui longe le littoral du fleuve St-Laurent, direction Matane. Ne pas s’attarder comme ces gens munis de jumelles et autres longues-vues, qui admirent un mammifère marin qui cabriole. C’est qu’il ne faut pas arriver en retard! Par contre, un petit arrêt pour choisir quelques ballons gonflés à l’hélium pour agrémenter notre arrivée. Le ciel est bleu, il fait bon et la circulation en cette fin de vacances de construction est bizarrement fluide. Tant mieux! On arrive à bon port et l’accueil est tellement chaleureux! Ce qu’il y a de formidable c’est que mon chéri a un copain; ce qui n’est pas arrivé depuis le début de nos vacances. D’ailleurs; ils filent vite au lac avec le bidule amphibie qui m’impressionne, pour aller pêcher. Bientôt les participantes de Gaspésie-Carnets sont au grand complet.



Les présentations sont abrégées, du fait qu’on se lit depuis un moment chacun, chacune. Par contres les rires fusent!

Un brusque orage a fait revenir illico les pêcheurs. Mon chéri a eu le temps de prendre une truite mouchetée. Le temps que l’orage passe avec l’espoir d’y retourner: ils jouent une partie d’échec.



Pour finir on a le temps de déguster un succulent souper, accompagné de vin blanc et rouge, le tout de fabrication maison. Un pur délice!

Voyant le beau temps revenir: les hommes repartent pêcher. Nous; on ne voit pas le temps passer à discuter de nos blocs, à échanger trucs et programmes, chacune prends le temps d’aller contrôler ses blogs préférés, les commentaires se font de vive voix: c’est vraiment agréable.

Cette fois: c’est la nuit qui fait revenir nos hommes. Et hop mon chéri a pris une autre truite! Il est pas peu fier!



La soirée se pour se terminer au son d’une musique Indienne contemporaine que j’ai adorée!

Dommage qu’il aie fallu se quitter, mais vu l’heure tardive et notre bonne heure de route à faire pour rentrer; c’était plus sage. En regardant le ciel étoilé, le croissant de lune et les quelques lumières visibles sur la Côte Nord; ce que c‘était bon de savourer ces bons moments, qui entraient doucement dans nos souvenirs, sur la route du retour au chalet!