Je me suis entaillé l'index de la main gauche et pas à peu près! J'ai eu peur d'avoir besoin de points de suture... mais non; ça va aller. Vous savez le genre d'accident bête... j'étais à me préparer une raclette toute sommaire et en tranchant une miche de pain, le couteau à kirké, bifurqué, dévié...sur mon doigt.
Moi quand je tranche le pain ici... avec la croûte dure; j'y vais avec coeur. Comme vous le savez: un couteau à pain est dentelé; ça vous donne une jolie entaille dentelée aussi. Ouf... ça faisait un bon moment que ça ne m'était pas arrivé, pareille mésaventure. BOBO! Tout ce sang, gicle l'eau froide et les sacres... d'abord engourdir la plaie avec l'eau glacée, ensuite arrêter le sang de couler, aller cherher la pommade à l'aloès, étaler, mettre un pansement et vite réfléchir: c'est lesquelles de granules qui favorisent la guérison de plaies ouvertes.....
L'Arnica! N'empêche que j'ai mangé avant, j'ai pris 3 doses d'Arnica durant mon film, ensuite je suis allée oter le pansement pour re-nettoyer, mettre la pommade et rebelotte pansement jusqu'à demain. Ouf!
Je vous dis pas la peine que j'ai à taper au clavier... après tout; j'ai eu plus de peur que de mal et c'est bien que ça m'arrive à la maison, fiou!
Le film est le genre de truc qui va bientôt passer à la télé mais bon; javais envie de voir Benoît Poelvoorde qui dans ce cas-ci est fidèle à une image un peu entendue dans plusieurs films.

Vous comprendrez que je ne fais pas de billet que pour ce film que je considère comme un bon divertissement sans plus. Le titre: Les portes de la gloire.
J'ai bien aimé la prestation de Jean-Luc Bideau, tout un personnage dans la vie courante ce Suisse alors dans les films!!!
Sinon; j'ai réussi ma semaine de remplacement au boulot. Pas facile de gérer une équipe disparate. Disparate? En fait, l'équipe de Genève n'est pas encore homogène avec le tout nouveau monsieur qui en est devenu le chef... malgré qu'il soit le dernier arrivé au sein de la boîte. Homogène; c'est le terme pour qualifier mon équipe et on a beau toutes y mettre du sien: quand les autres jouent de malhonnêteté: c'est d'un pénible!!!
Dès 9 heures lundi... je croyais pas y arriver sans piquer une crise... j'y suis arrivée finalement mais avec oh combien de tact, de patience et de support de la part de mes deux collègues habituelles... je sais pas si j'y serais arrivée. Dailleurs; en fin de journée; j'ai réussi à dire au patron le truc qui nous embêtaient depuis le début de la semaine et il a fait passer le message... on a vu la différence. Mais; lundi prochain: ils vont s'en souvenir de la consigne??? Rien de moins sûr! À suivre.