dimanche, avril 30, 2006

Juste pour Looange!

J'ai bien du mal à récupérer de mon samedi de travail. Bon: vous me direz que c'est toujours comme ça: eh oui! J'ai mal aux jambes et comble de malheur: j'ai oublié ma boîte de granules pour ces maux dans la voiture de boîte. Faut dire que j'étais à bord de celle de la 2e équipe de Lausanne parce qu'au total hier on étaient 11 pour travailler!

Je saurai bien la récupérer mais quand?

Ce qui fait que ce dimanche fut assez tranquille, un peu de repassage -l'idéal est de terminer avant les prochaines lessives!-j'ai fait sécher de la sauge, romarin, basilic et lavande. Renchaussé les haricots, il a presque gelé durant la nuit dernière mais bon: rien de foutu; fiou!





Mon poulet est en train de rôtir, j'ai réussi à passer une heure à lire au soleil malgré la bise et je me permets d'offrir ces "quelques" pissenlits à Looange!







On continue la balade?

En ce beau dimanche ensoleillé, quoique frisquet; je vous invite à poursuivre la balade campagnarde en photo.


Je suis toujours à côté de ma voiture, cette mignonne rangée d'arbres me séduit à chaque fois. Je vais du côté de Penthalaz pour faire des commis. Mais j'oublie souvent qu'à la campagne et même certains petits magasins, ferment sur l'heure du midi. Je me retrouve donc devant une porte close. Qu'à cela ne tienne: je repars faire des photos!

Je vois des petits chemins parcourants la campagne. En principe: ils sont réservés aux utilisateurs intéressés. Cependant; il n'est pas interdit d'y aller.


Ici: un emplacement de jardinets communautaires que les gens prennent soin d'aménager agréablement. Pour certains, ça tient du camping car ils y passent tous leurs week end à la belle saison.

Par contre en toutes saisons vous y verrez des gens qui baladent leur chien. C'est très agréable de contourner un pré, le chien peut s'ébrouer librement: rien à voir avec les trottoirs et parcs de villes!


Nous voilà passés de l'autre côté des jardinets.




Les paysans sont heureux car c'est bien sec et ils peuvent enfin travailler la terre.


La vue porte souvent sur plusieurs communes à la fois.


Ici; un ilôt de locatifs de Penthalaz.

Avec le Jura en fond et les gros nuages menaçants!


Côté lac, si le temps était clair on verrait bien les Alpes!

Une rangée de locatifs dans le vallon!




Encore des constructions; ça bouge beaucoup depuis deux ou trois ans.

Voilà pour aujourd'hui. Il me reste encore des photos mais ce sera pour une autre balade!

samedi, avril 29, 2006

Ian Gillan

J’ai terminé assez tôt le travail jeudi et me trouvant en plein centre ville de Lausanne, comme toujours; j’en ai profité.

J’ai fait quelques boutiques, mais le but premier était d’aller à la FNAC chercher Magasin Général.

Facile: il était juste bien en évidence à l’entrée. Ensuite; j’avais envie d’un film, j’ai ramené Oliver Twist de Polanski. Puis me restait à dégoter la perle rare: The village lantern de Blackmore’s Night. Sauf que j’avais pas mon petit bout de journal, précieusement conservé pour fin d’achat.

Le problème quand on est trop curieux et qu’on lit tout; ça donne que de mémoire j’ai demandé tout autre chose à l’employé du rayon musique! Efficace l’employé me revient avec: Gillian’s Inn!

Aucuns regrets parce que j’aime aussi et c’est un album très réussi rappelant les bons moments de Deep Purple avec en prime Smoke and the water, revisité. Très réussi.

Personnellement; je retrouve cette voix si caractéristique qui a fait les beaux jours de mon adolescence, la guitare de Satriani dont j'ai quelques CD solos ainsi que des inédits intéressants.

Ce qui a de bien c’est que j’aurai la FNAC à portée de main demain et lundi. Je vais me reprendre pour mon album celtique. Parce que les samedis, avec la foule et le peu de temps: c'est pas l'idéal.

vendredi, avril 28, 2006

Le 28 avril 2005

On faisait notre première visite d’appartement: une grande déception à tous points de vue, sauf pour l’apprentissage du comment faire, des trucs et astuces. La toute première: NE JAMAIS ACHETER UN APPARTEMENT HABITE; car ce sera à vous le cas échéant de les mettre à la porte ces gens. C’était le cas de cette première visite. En relisant mon entrée de l’époque, je réalise que leur bail était jusqu’en avril 2006!!!

Dire qu’on jouit de notre condo depuis septembre 2005: qu’aurions-nous fait alors?

Sur ce: je vous invite à une petite balade dans ma campagne.

Vous le savez peut-être déjà qu'il n'y a rien au carré en Suisse! Particulièrement dans les campagnes où c'est la nature qui a dicté l'aménagement des humains. J'ai pris ces photos mercredi où le soleil se disputait la place avec de gros nuages. Qu'à voir les reflets sur le toit de ma voiture.
Une agence Renault perdue en pleine nature.


J'ai pris un petit chemin de terre menant aux champs pour avoir cette vue de Daillens.







Ensuite: j'ai fait que pivoter pour vous montrer la campagne environnente et les villages au loin.





Voilà; je vous réserve une 2e partie de campagne pour un autre jour.

jeudi, avril 27, 2006

Petit coucou!

Je passe juste vous faire coucou, en me permettant un clin d'oeil à Coyote, avec cette affiche rigolote que les gens prennent au sérieux en général en Suisse.


Sinon; je vous offre une pause poétique.

Demain; je reviendrai sur la saga de recherche de condo qui a débuté le 28 avril 2005.

mercredi, avril 26, 2006

Charlie Chaplin

La Suisse regorge de surprises, à force d'avoir accueilli tout plein de personnalités internationales, ce qu’elle fait encore car plusieurs profite du cadre exceptionnel de ce petit pays aux possibilités multiples.

Ce fut le cas de Charlie Chaplin. Il a dû fuir l’Angleterre pour aller se réfugier eux États.Unis où finalement on ne l’a pas si bien traité qu’il a choisi la Suisse pour installer sa famille, en paix et poursuivre sa carrière.

1947 Le sénateur Mac Carthy établit une liste noire des personnalités et organisations soupçonnées d'appartenir de près ou de loin au mouvement communiste

Ils en parlent dans le film qui vient de sortir?

Dans un charmant village de la Riviera vaudoise, Corsier-sur-Vevey, on peut admirer le manoir qui abrita cette famille nombreuse -11 enfants- et les ateliers du maître.

On a pu le visiter ce fameux manoir en 2001, lors d’une Journée du Patrimoine où c’était exceptionnellement ouvert au public. Une heure et demie d’attente, en file pour y arriver! Mais ça valait le coup.

Eugène Chaplin habitait ce manoir, mais il le quittera bientôt pour faire place au magnifique projet du Musée Chaplin.

Témoignage de Michael Chaplin.

Le Musée pourra voir le jour après six ans de travail, une grande partie est due au Québécois Yves Durand, muséographe.

mardi, avril 25, 2006

Mardi en vrac!

Le soleil a joué à cache-cache, il a donc fait un peu moins chaud qu'hier; n'empêche que j'ai enlevé mes chaussettes en matinée, j'avais trop chaud moi.

Le travail était terminé à midi et demi, alors j'en ai profité pour retourner chez Obi voulant rapporter des plants de tomates. Ils n'en avaient plus. C'était pas prévu au départ que j'en fasse cette année, donc: si j'en trouve pas; je laisse tomber. J'ai ramené un petit bouquet d'alyssum que j'ai rempoté avec des myosotis, en remplacement d'un bégonia eliator que j'ai trop arrosé je crois.

Faut pas croire que je réussi tout hein? Quoique mes deux mortalités pour le moment sont: le premier cas par sécheresse et le second par trop d'eau. J'ai rempoté des haricots naissants, acheté de la sauge aussi, une plante retombante d'intérieur


et un petit Anthurium Red Queen, hihihhi.

Et celle-ci quelqu'un pourrait l'identifier? J'aime pas trop quand on a pas le nom en achetant mais je vais pas me priver pour un si petit détail hein? Je l'ai depuis un petit moment et je viens de la changer d'endroit mais c'est peut-être pas ça le problème.


J'ai aussi reçu mon plat à cuisson à basse température: bien de l'exploration culinaire en vue; j'avais aussi commandé 3 livres de recettes Betty Bossi. Vous en entendrez parler prochainement!

lundi, avril 24, 2006

Premier orage, premier martinet


Un lundi somme toute normal si ce n’est que j’ai dû encore remplacer la cheffe, mener à bien la fin du chantier et la chaleur qui pour une fois n’était pas dans les bureaux -ils ont coupé le chauffage- mais bien à l’extérieur. Reprendre la voiture qui a séjournée au grand soleil durant des heures: un four!

Je suis encore allée manger une portion de frites mais à l’ombre, en lisant les infos. Michael Jackson aurait des vues sur un château baroque de Lucerne… et autres balivernes.

J’ai profité pour aller à une de mes boutique de chaussures préférée. Préférée pour le choix, la qualité mais ouf les prix! J’ai trouvé des mignonnes ballerines blanches en cuir de vachette, aérées et méga confortables. Moi qui ai du mal à me trouver des chaussures pour le boulot surtout: on marche tellement; donc je les use moi qui autrement peut conserver des chaussures durant des années.

On a terminé relativement tôt, toujours aussi chaud… donc j’ai fait une tournée d’arrosage chez ma voisine du dessus. Et ici. Deux heures plus tard un orage éclatait.

Par contre cette visite au balcon du haut m’a fait faire une rencontre agréable. Je crois bien que j’ai vu mon premier martinet de près! C’est fou parce que y a pas une semaine je lisais que c’est une espèce en voie de disparition en Suisse. Que ce serait bien de leur aménager des nids ou espaces au faîte de nos toits. Je crois bien que celui-là a trouvé tout seul et c’est génial parce que cette voisine adore les oiseaux et ne fera rien pour l’en déloger.

J’aime les gens qui savent partager la vie.

Zen le dimanche

J’ai bien profité du balcon en ce dimanche ensoleillé. Il y a bien eu quelques nuages mais parfois je les apprécient pour l’ombre salutaire qu’ils apportent.

Depuis jeudi; il y a une fête théâtrale à la salle municipale voisine, avec tout plein de jeunes et de voir la différence incommensurable du silence ambiant malgré tout: c’est une vraie jouissance. Il faut surtout pas que j’oublie l’enfer de l’ancien appartement hein? C’était tellement bruyant autour, ici je me retiens pour tousser quand je suis au balcon alors vous comprendrez que c’est interdit de roter ou péter tellement c’est calme!


Ça l’est peut-être un peu moins dans l’autre bâtiment. Les premiers rentrés sont un jeune couple qui reçoivent à souper très souvent, se couchent tard -ce qui est normal à leurs âges-, les deuxième sont un couple avec deux pré-adolescents. Pour le moment: ils sont calmes et polis. Il me tarde de voir qui seront les 3 autres familles.

Hier en allant désherber, j’ai rencontré une dame qui arrivait en vélo et qui voulait visiter le dernier condo qui n’est pas vendu. Son mari est musicien qu’elle me fait. Je l’ai assurée d’une insonorisation maximale mais bon…. J’ai juste oublié de lui demander de quel instrument il jouait, s’il avait un orchestre avec lui. On verra bien, hihihihi.

On discutaient, voyant que j’étais du Canada -T-shirt que je portait aidant- elle a voulu démarrer sur les phoques…. Iiiii. J’ai réussi à esquiver le sujet en rigolant sur autre chose, mais surtout en mentionnant qu’il faut pas tout croire. Je tiens à demeurer neutre sur ce sujet parce que je ne suis pas au fait. Si toutes les aberrations faites par les humains étaient portées aux nues par une Bardot et autre philantrophe animalier: la liste serait sans fin.

On a mangé dehors, j’ai fait pas mal de lecture, renchaussé les haricots beurre et les radis, regardé fleurir mon fushia, mes clématites qui ont déjà une tige qui tient sur l’espalier et maintenant: c’est terminé; je ne pivote plus les géraniums lierre et lierres, car je désire qu’ils entrelacent leurs tiges. À suivre.

dimanche, avril 23, 2006

Le passager


Le passager de Patrick Sénecal.

Je crois bien que c'est la première fois que malgré l'horreur de certains passages, ce qui est un bon point pour un thriller, un livre me tient en haleine jusqu'à la dernière ligne.

Tellement bien ficelé, d'une écriture fluide et imagée, il me tarde d'en lire d'autres de cet auteur étonnant.

Malgré que ce roman soit court, on ne voit pas la fin arriver mais alors là pas du tout.

Même si ce n’est pas vraiment mon style de lecture privilégié, j’ai bien aimé. Mais j’aurai besoin d’un petit Christian Bobin pour me reposer un peu.

samedi, avril 22, 2006

Une indifférence pressée!


À un récent repas d’affaire, les gens devaient s’inscrire en vitesse et signaler le nombre de personnes; s’ils venaient en couple: ils accolaient un x2 après leur patronyme.

La journaliste assistant à ce repas avait donc devant elle une dame charmante qui, selon le carton posé devant elle, s’appelait Pierre! Au départ, d’original ça devint carrément bizarre quand la journaliste réalisa que sa voisine de droite s’appelait Gérald! Celle de gauche? Jean-Daniel!!!


Croyant à un retour en arrière bizarre, comme au temps où toutes les dames étaient: madame Paul Pervenche ou madame Markus Locke. La véritable raison était que dans l’indifférence pressée: les collaborateurs de cette entreprise étant en majorité masculins, le fait d’ajouter x2 ne révélant en rien le prénom de leur épouse, les organisateurs n’ont eu d’autres choix que de procéder ainsi.

Aberrant!


Dans le même magazine, une étude sur le phénomène du choix que font ou que ne font pas les femmes en se mariant.

Ça me rappelle ce billet sur mes patronymes

RECUL:

Les Américaines sont toujours plus nombreuses à prendre le nom de leur mari. En Suisse, 71% des épouses choisissent de balancer leur nom de jeune fille aux orties.

Retour aux années 50? Déni de l’autonomie féminine? En gardant leur nom de jeune fille, les jeunes femmes ont peut-être l’impression qu’elles vont passer pour des féministes rasoir & ringardes. -pourquoi donc en Europe le mot féministe a une connotation si négative? Parfois on dirait que les gens s’en défendent comme de l’antisémitisme ou le nazisme-

Souvent en Suisse, les jeunes femmes se laissent influencer par leur mari qui préfère que toute la famille porte le même nom. En de rares exceptions: le mari suggèrera à sa future épouse de conserver son nom. -remarquez que c’est le mari qui y pense…-

On remarque qu’en Suisse les femmes qui conservent leur nom de famille sont des immigrées: Espagnoles, Italiennes, Françaises, Québécoises.

Alors; régression? Pas vraiment, dans la mesure où les Suissesses nont jamais eu envie d’afficher leur nom à elles…

À l’évidence, aucune révolution, féministe ou identitaire, n’est en vue. Et quand on dit révolution… on n’ose à peine espérer une évolution.

PS: Pour l’état civil, les Suissesses ont deux options: renoncer à leur nom de jeune fille et adopter celui du mari, ou conserver leur nom et le faire suivre par celui de l’époux, obligatoirement sans trait d’union!

* Source: Fémina No15 - 09.04.06

vendredi, avril 21, 2006

Douce fin de journée sans vent sous l'auvent.


J'avoue que rentrer au travail pour qu'un jour dans la semaine après les vacances: ça fait un peu bizarre! La météo était estivale, grand soleil, 20 degrés en ville, alors; au lieu de manger dans la cafétéria lugubre de l'endroit où on étaient: je suis sortie manger une frite en plein air.


Au retour: le balcon était innondé de soleil, mais il me faut déjà faire très attention car cette année, avec le volet paysagiste qui me fait travailler en plein air, plus le balcon, plus les expositions "normales" au soleil: j'ai l'impression que ça multiplie par 10 sinon plus mes sorties faites exprès avant.


Donc, hier soir, pour la toute première fois j'ai déroulé mon auvent. Moi, la dame qui était en manque de soleil, de luminosité, qui pouvait changer de trottoir pour marcher sur la portion ensoleillée, à partir d'hier cette tendance est totalement inversée.

Vous avez sûrement remarqué que les gens passant tout leur temps de travail à l'extérieur deviennent noirs, la question est: est-ce que je désire bronzer à ce point? J'aurais jamais cru avoir à me poser ce genre de question! Sauf que j'ai l'impression d'être bronzée comme à la fin mai et on est encore en avril!


C'est quand même agréable et bon: servons-nous des outils mis à disposition; l'auvent, la lotion solaire, les vêtements qui protègent, l'ombre. Une jeune amie m'a confié hier qu'elle a déjà eu les épaules qui ont pelées jusqu'au sang après un monstre coup de soleil! Il faut vraiment se méfier de cet astre aux effets bienfaisants en soi mais comme dans tout: trop; c'est comme pas assez!

J'en oubliais de vous montrer ma trouvaille ingénieuse. Le mur séparant nos balcons est fait d'un matériau très léger, on ne peut rien y fixer. Voulant avoir un genre de treillis, j'ai acheté des clématites mardi. Mais ce n'est que mercredi au réveil que l'illumination de l'idée ingénieuse est arrivée. Je suis donc allée chercher cet espalier en métal de forme triangulaire, j'ai fiché la base étroite directement dans le pot et hop! C'est solide, tout se tient: je suis bien fière de ma trouvaille.

Élisabeth II a 80 ans!

Au risque d’en choquer quelques-uns; j’ai envie de souligner l’anniversaire de la Reine d’Angleterre, ainsi que de tout le Commonwealth, dont le Canada fait partie.

Quand on regarde sérieusement la vie de cette femme, devenue reine à 25 ans et qu’on fait une lecture de l’Histoire qui a accompagné son règne: on ne peut qu’admirer.

J'avais posé des liens qui s'avère n'arriver nulle part aujourd'hui... je n'y peut rien et bon... voilà!

PS: On l'a vue à la télé déambuler parmis des compatriotes conquis, vêtue de fushia, chapeau assorti avec sa légendaire élégance; par contre je décèle dans ses yeux depuis quelques années, des étincelles lumineuses. Comme quoi: elle vieilli bien la dame malgré les critiques et autres aléas de la vie.

jeudi, avril 20, 2006

Gigot d’agneau mariné

Pour 4 à 6 personnes
1 épaule d’agneau
2 branches de romarin
Sel, poivre


Marinade:
10 cuillères à soupe d’huile d’olive
3 cuillères à soupe de jus de citron
5 gousses d’ail
1 piment antillais

Préparation 15 minutes + 24 heures de macération

La veille, salez & poivrez la viande.

Pratiquez des entailles & enfoncez-y des brins de romarin.

Versez l’huile d’olive & le jus de citron dans un grand plat creux, ajoutez les gousses d’ail, pelées & hachées grossièrement & le piment -j’ai mis du piment jaune séché-. Mélangez bien & déposez-y la viande.

Laissez mariner au frais jusqu’au lendemain en retournant l’épaule d’agneau à plusieurs reprises.

Le lendemain, préparez le barbecue -ou le rôti saveur ou simplement sur la grille de votre four-, déposez la viande égouttée & laissez cuire en la retournant de temps en temps.


Il faut compter de 45 minutes à 1h30 selon la pièce de viande et si vous aimez avoir des parties saignantes ou pas.


Servez la viande accompagnée de brochettes de légumes: poivrons, aubergines, courgettes. -pour nous ça été pois verts, tomate et patates au four-.

Conseil
: Pensez à arroser la viande de marinade pendant sa cuisson.

Bon appétit!
Faites pas comme moi qui ai jeté la marinade un peu trop vite, j'ai donc pas pu arroser le gigot avec, ce qui donne ce filet de gras dans mon assiette voulant un peu de sauce, arf!

* Source: cuisine d’hier et d’aujourd’hui: viandes. Editions de la Joconde.