vendredi, mars 31, 2006

J’aimerais bien...


Profiter de mon balcon aujourd’hui, m’y mettre un peu sur pause, parce que c’est pas la liste de travaux à faire qui manque, mais mon travail -un peu trop physique cette semaine- me ressort des courbatures que j’avais oubliées. De plus je travaille demain, ce qui coupe ma fin de semaine en deux.



J’ai quand même réussi à ajouter des fleurs avec un nouveau support où l’on peut les mettre en duo.










Mon chéri est allé cherché la table convoitée mercredi soir.


Le montage s’est effectué entre deux bouchées de rôti de porc et l’installation au balcon; à la nuit tombée.


Je ne l’ai pas essayée encore. Mais point de vue coup d’œil: elle en jette comme ils disent ici. Me reste à en tester le confort.


Il me reste à prendre des photos du tout, bien installée au balcon!

jeudi, mars 30, 2006

Grande Ourse saison 1 fin

Je viens de terminer le visionnement de la saison 1 de Grande Ourse.

Dans le genre... fantastique; c'est bien fait, pour les intrigues on a l'habitude au Québec mais de marier intriques, magie, fantastique, légende: chapeau! J'aime. Merci encore Shandara!


Je sais même pas si je verrai jamais la saison 2... m'enfin! J'aime nos trucs québécois. C'est pas la grande morale américaine mais... en plus subtil.

M'enfin.

Alors ce soir, pas de photos, je suis ce qu'on considère comme mourue mais repue!

mercredi, mars 29, 2006

Su aux allergies!

Que ceux qui souffrent d'allergies printanières se préparent en allant lire sur Barbasanté, les choix que l'homéopathie leur offre!

Un vrai champion!

J'ai dormi comme un bébé un bon 10 heures de suite. C'est que j'en avais besoin et bon faut je sois en forme pour ce jeudi qui est une grosse journée au travail et je sais aussi que je vais travailler samedi.

Mon après-midi a été occupé à tailler une partie des arbutes de la plate-bande devant l'autre immeuble. Je peut vous dire qu'ils en ont mis toute une série d'arbustes. Plusieurs me sont inconnus, alors j'apprends en faisant selon la logique et aussi avec l'aide d'une voisine qui s'y connais. En fait: elle m'a donné des trucs sur la manière de faire ICI, manière que je vais appliquer et qui est beaucoup plus rapide.

Stéphane Lambiel est rentré du Canada ce midi. Champion du monde pour la deuxième année: je le trouve admirable et je vais me contenter de vous donner le lien pour lire la suite!

mardi, mars 28, 2006

En fait il...

Désolée si ça vous a paru long mais bon... je viens de visionner 3 épisodes de Grande Ourse qui me ravit toujours autant! Une belle intrigue!

On a eu notre premier orage, discret on dira ou bien j'avais pas la tête à ça... je voterai pour discret parce que moi les orages hein!

Donc: ce Loukoum, à la papatte à cran-d'arrêt... tiens ça me rappelle que j'ai terminé le polar: Sanguine de Bissonnette: ouf! Un polar qui a du chien, faut avoir du cran, ...je disais déjà?

Ah oui le monstre...


En fait... il rejoint souvent mon chéri qui est étendu sur le divan...

De là: il a une très bonne vue sur les inséparables et surtout une excuse...


Mon chéri adore embêter les animaux, avec plus ou moins de succès.

Sur ce coup; ça valait le détour!

Deux mâles, nonchalents, indolents, Louk a canalisé sa "fureur" que dans la patte montrée précédemment...

Pendant que mon chéri chopait sa queue à chaque passage devant son visage... juste assez pour l'agacer sans le faire fâcher.

Juste ça: c'est digne de mention.

C'est pas pour rien que j'ai pris toutes ces photos hein!

Patouille



Mais qu'est-ce que c'est que ça?







Mais que fait-il donc?



La suite et fin un peu plus tard!

lundi, mars 27, 2006

Questions négatives!


Questionnaire qu’Oreole m'a gentiment refilé:

Quelle chanson vous fait éteindre la radio?

Aimer…jusqu’à l’impossible, d’Arena ou Aretha Franklin

Quel est le livre que vous ne lirez jamais?

Les fourmis de Bernard Weber, ou tout trucs du genre

Quel est le film que vous n’irez jamais voir?

Tous les films d’horreur genre: massacre à la scie.

Quelle émission vous fait éteindre la télévision?

Tout ce qui est faux témoignages ou vrais… bref le lavage de linge sale à la télé.

Quels vêtements vous ne mettrez jamais?

Des vêtements style Armée… style camouflage, etc.

Quelle espèce d’animal tueriez-vous sans aucune hésitation?

Les insectes qui me font peur.

Quels sont les jeux auxquels vous ne jouerez jamais?

De guerre et autres du genre violents

Quel est l’objet qui vous répugne?

Les araignées et autres bidules en plastique plus vrais que vrai!

Quelle fête détestez vous?

Aucune idée…je me contente de ne pas participer si ça me tente pas.

Quel est le métier que vous ne ferez jamais?

Ambulancière

Quelles sont les friandises qui vous écoeurent?


Les litchies qui ressemblent à de gros globules oculaires… en passant: c’est un fruit.

Quel est le présentateur télé que vous aimeriez taper?


Ardisson

Avec quelle personnalité détesteriez vous avoir une aventure?

Jean-René Dufort



Quel est le moyen de locomotion que vous n’utiliserez jamais?


Le jet… hélas! Pas une question d’argent parce que j’aurais pu, peut-être avec mon premier ami du Net qui était pilote de F-16.



Quel est le mot que vous n’aimez pas entendre?

Tout se qui est insultant ou dénigre l’autre. C’est donc pas tant le mot que l’intention.

Quel écrivain détestez-vous?


Euh… aucun. Ceux qui ne m’attire pas je les évites tout simplement.



PS: photos pas rapport!

David Gilmour

J’ai vu que 2 critiques sur la sortie du CD de Gilmour mais….je l’ai toujours aimé, sa touche personnelle au sein de Pink Floyd, tout en douceur contrairement à celle de Roger Waters.

J’ai acheté le CD mardi, profitant d’un passage éclair à la FNAC. Depuis… j’ai dû l’écouter en boucle une bonne 20t’aine de fois! J’arrive à jouer de l’harmonica sur la deuxième pièce. Le reste coule de source et quelques petits clins d’œil à Us and Them du Triangle, ou les cloches d’Animals, à The wall aussi; il y en a peut-être d’autres que j’ai pas décelés encore.

Comme plusieurs de cette génération de musiciens; il vieilli bien! Du pur bonheur.

dimanche, mars 26, 2006

Samedi matin

Pluie fine, remplacée par un soleil étincelant, mais voyez plutôt la couche de nuages noirs qui coiffe le haut du ciel! J’ai parfois l’impression qu’on est dans une sorte de cuvette, ce qui donne des météos changeantes et spéciales.


Il y a même une portion d’arc-en-ciel ici!


Il y a aussi de l’activité, l’arbre que je privilégie pour faire des photos; en fait… il fait partie de mon paysage du nord-ouest. Un paysagiste oeuvrait depuis un moment quand je me suis levée. J’ai cru qu’il le couperait net, mais non, voyez plutôt! Un émondage professionnel redonnera peut-être une allure sympathique à cet abricotier.


Il a une seconde chance et j’ai bien hâte de le voir en fleur!




À propos de fleurs: ces jolies fleurs jaunes dorées sont apparues durant la semaine chez nos voisins du sud-ouest. Ma photo est floue mais c’est pas grave: c’est la couleur que je voulais vous montrer!


PS: on est passés à l'heure d'été, pour une semaine on aura un décalage de 7 heures avec le Québec.

samedi, mars 25, 2006

Je vous présente!

Guérald!


Je croyais vraiment pas un jour... acheter un nain de jardin! Puis na! S'en est pas un, c'est Guérald! Le compagnon des plantes de mon balcon.

Le voici aux aurores avant mon départ pour le travail. Il aura passé la nuit à éclairer de sa lanterne ses (nos) amies les plantes.


Durant la journée sa lanterne se charge par ses plaques photosensibles et restitue la lumière à la nuit tombée.

On m'a dit que: c'est que le premier nain de jardin... qu'un coup parti on ne peut s'empêcher de s'en procurer d'autres...


Je ne comprends pas!!! dixit le père d'Amélie Poulin!

vendredi, mars 24, 2006

Pendant tout ce temps!


Monsieur du Loukoum se prélasse dans un de ses fauteuil préféré!












Membres mous pendants.



Mais bon le bruit de l'appareil photo, pourtant bien discret suffit...



à le réveiller vraiment!

jeudi, mars 23, 2006

Pommes et oignons séchés

Question de rentabiliser mon séchoir à légumes/fruits; je me suis acheté 2 paniers supplémentaires vendredi. Alors hier, j’ai fait des pommes et des oignons. Le tout, durant les 7 heures de séchage a dégagé un délicieux mélange de parfum qui me rappelait mon enfance quand je dégustait des chips à l’oignon avec parfois une pomme aussi.


Ensuite; j’ai transplanté mes lierres dans un pot adéquat qui saura les garder à l’aise toute la saison -j’ose plus dire l’été- , j’ai fait un pot avec un bégonia mélangé avec des myosotis et une jardinière avec le reste des myosotis.


C’est la première année que je me lance pas avec primevères, jonquilles et cie. Pourquoi? Parce que pour la première fois j’ai l’espace pour faire tout le reste et que je suis plus patiente. Ces variétés ne durant que peu de temps en fleurs. Je vise quelque chose de plus durable, parce que je vais pas m’amuser à changer aux 3 semaines hein! Quoique….


Alors pour revenir à nos oignons: voici le résultat! Les pommes; c’est vraiment délicieux, je suis agréablement étonnée, faut dire que c’est une variété sucrée à la base. Je pourrais ajouter encore 2 paniers mais bon: au boulot que ça fait; je crois que je vais en rester là!


PS: Tout ça c'était dimanche dernier... j'ai enfin réussi à insérer les photos!

Jeudi, i i i.

Toujours pas moyen de poser des photos, de plus ma semaine de travail est pas mal complète et j'aurai passé le peu de temps disponible à discuter avec Marc de Montréal. C'est bien sauf que c'est le genre de discussion qui peut durer et durer! Non pas qu'on reste sur nos positions mais ces positions sont dictées autant par le coeur, l'expérience personnelle etc.

Le printemps est officiellement arrivé ici, ça ne gèle plus la nuit, mes plantes extérieures ont fait la transition au balcon sans revenir passer la nuit dedans, elles ont un nouveau compagnon que je vous présenterai dès que je pourrai mettre des photos.


Le soleil est peu présent ce qui n'empêche pas le mercure de monter jusqu'à 12 en journée. Bon j'y vais et je vous retrouve ce soir pour toute la fin de semaine!

mardi, mars 21, 2006

Mise au point.

Pour notre ami Marc de Montréal, qui a le mérite de donner son avis dans mes commentaires, pour qui j’ai omis de souhaiter qui mon habituelle bienvenue, croyant que c’était mon pollueur de service…

Donc; pour son bénéfice et tenter de dissiper certains malentendus, on va reprendre d’une autre manière, si vous le voulez bien.

Le lieu: Salon du livre de Paris.

Base du billet:
article relatant le ras-le-bol d’auteurs de langue française, car une grande partie de l’article soulève clairement qu’il est temps d’utiliser l’appellation "de langue française" au lieu de celle couramment utilisée qui est "francophone".

J’aime cette portion de l’article qui suggère une modification plus près de la réalité actuelle.

Je ne peut qu’être d’accord aussi avec la question que soulève Guillaume Vigneault:
L'"auteur francophone" est-il la version mondialisée de "l'écrivain de province"?
Vigneault, désormais publié au Seuil, serait porté à le croire.

Tout ceci ne sont pas des jérémiades de victimes, mais bien un éclairage lucide de ce que vivent ces auteurs.

Je vous cite monsieur Marc de Montréal:
J'aurais bien voulu me présenter, argumenter pourquoi il me semble que cet article — comme tant d'autres — établit un diagnostic plausible, mais y propose toujours le mauvais remède pour que les « victimes » du mal continuent à se plaindre.

Il aurait été fort agréable que vous vous présentassiez; mais bon: il n'est pas trop tard.

Il me semble que dans cet article il y a des solutions de proposées non?

Quand ces solutions seront vraiment discutées, acceptées ou non, par les *intéressés: on pourra dire qu’il y a eu débat.

Je vous cite encore:
Mais, quand on s'exprime en tant que nouvel arrivant dans un pays, les membres de la « tribu » vous mettent en garde de ne pas d'emblée penser comme elle.

L’utilisation du terme tribu démontre admirablement ce que la phrase suivante signifie:
Je sens parfois, en sourdine, une sorte de sous-entendu qualitatif. C'est un truc atavique, poli, pas réfléchi. Guillaume Vigneault.


Bref: le jour où les gens -peu importe leur provenance- ne prendront plus les autres de haut; on pourra voir clair et parler le même langage: celui du respect.

PS: À titre d’info: je ne suis pas en voyage en Suisse mais j’y habite.

* Intéressés
: Avoir de l’importance pour… selon Larousse. J’oserai ajouter qu’avec le respect, c’est souvent un manque d’intérêt flagrant pour l’autre qui fait naître les malentendus.

PS 2: Je n’ai pas l’impression de devoir m’affranchir de quoi que ce soit, ceux qui me connaissent savent mon ouverture d’esprit, ainsi que le plaisir que j'ai de susciter de réels débats à partir de faits d’actualité: ce qui est le cas avec cet article. Le fond du débat étant le respect. Ce n’est peut-être pas le fait du hasard si certaines nationalités sont plus souvent sur la sellette que d’autres.

Pour finir: je ne prête d’intentions à personne, ayant toujours privilégié le plaisir de connaître l’autre, autant pour les lieux communs que pour les différences, le tout dans un dialogue agréable, si possible. Voilà!

lundi, mars 20, 2006

Salon du livre de Paris...

Pour être une grande lectrice depuis ma tendre enfance, pour avoir oeuvré en tant que bibliothécaire durant 7 ans, pour l’amour de mots, qui pour moi sont comme de la musique, malgré tout ça: c’était pas du tout prévu que je vous entretiennent du Salon du livre de Paris.

Et c’est pas la faute à Blogger, qui m’enquiquine avec ses bris divers, qui m’incite à ouvrir le débat ici.

Parce que ce débat fait partie intégrante de ma vie, que souvent j’essaie de sauter une occasion ou deux pour pas ennuyer les gens, mais ce coup-ci!!!

Ophélie m’a alertée du fait et de la condescendance de certains journalistes, posant des questions tout à fait saugrenues à des auteurs chevronnés. Leur seul pré-requis étant de ne pas être DE France.

Les auteurs francophones irrités
Presse Canadienne (PC) - par Michel Dolbec



Le Salon du livre de Paris s'est ouvert jeudi soir, révélant l'ampleur du malentendu qui entoure en France le statut des «écrivains francophones».

La Francophonie dans son ensemble, et non pas un pays comme d'habitude, est l'invitée d'honneur de ce grand rendez-vous. Jeudi matin, le quotidien Libération avait bien résumé le problème posé par cette initiative: la Francophonie, a-t-il souligné, est un «mot piégé» auquel se mêle une «histoire de centre et de périphérie», le centre étant, bien entendu, la France, voire sa capitale.

Cette perception «terriblement parisianiste», «vaguement condescendante» et teintée de «colonialisme» finit par agacer un bon nombre d'auteurs, à commencer par la romancière Monique Proulx.

Dans le même journal, l'auteure du Coeur est un muscle involontaire s'est emportée contre la façon des Français de traiter la Francophonie comme s'ils n'en faisaient pas partie, comme s'il y avait «d'un côté les Français, authentiques, les seuls à l'avoir, l'affaire — et de l'autre: la francophonie, tous métèques et sous-produits plus ou moins rachitiques des premiers».
«J'ai exprimé un léger ras-le-bol, a expliqué Monique Proulx au salon. Ca ne changera rien, mais il faut continuer à dire que c'est insupportable. Les Français ont un retard mental, tout simplement. Ils sont lents à digérer le fait qu'il existe une Francophonie en dehors de la France. C'est eux qui ont un problème. Ca ne nous empêche pas d'exister.»
Guillaume Vigneault et Gaétan Soucy sont — avec Wajdi Mouawad, inscrit comme représentant du Liban — les seuls Québécois figurant sur la liste des 40 invités officiels du salon. Les deux écrivains manifestent eux aussi une certaine «irritation» devant le clivage suggéré par le «discours ambiant».

L'«auteur francophone» est-il la version mondialisée de «l'écrivain de province»? Vigneault, désormais publié au Seuil, serait porté à le croire.
«Je sens parfois, en sourdine, une sorte de sous-entendu qualitatif, reconnaît-il. C'est un truc atavique, poli, pas réfléchi. La meilleure façon de corriger ça, c'est d'être là et de se faire entendre.»
«Il y a une résistance à vaincre chez le lectorat français, confirme Soucy, en signalant qu'il n'a pas à se plaindre de son sort. On est facilement marginalisé du seul fait qu'on soit un écrivain francophone vivant en dehors de la France. Ca commence à changer, mais la définition de Francophonie demande à être travaillée, approfondie.»

L'écrivain libanais Amin Maalouf est plus intransigeant. Dans une tribune publié dans Le Monde plus tôt cette semaine, le lauréat du Prix Goncourt 1993 (pour Le Rocher de Tanios) déclare purement et simplement qu'il est «contre la littérature francophone».
«“Francophones”, en France, aurait dû signifier “nous”; il a fini par signifier “eux”, “les autres”, “les étrangers”, “ceux des anciennes colonies”, a-t-il écrit. Mettons fin à cette aberration! Réservons les vocables de “francophonie” et de “francophone” à la sphère diplomatique et géopolitique, et prenons l'habitude de dire “écrivains de langue française”, en évitant de fouiller leurs papiers, leurs bagages, leurs prénoms ou leur peau.»

L'inauguration du Salon du livre marquait aussi l'ouverture officielle des Francofffonies!, le Festival francophone en France qui se poursuivra à travers le pays jusqu'en octobre. Plus de 2000 artistes, plasticiens, écrivains, intellectuels, scientifiques venus des 63 pays et états membres de l'Organisation de la Francophonie prendront part aux 500 manifestations «labellisées» par le festival ou organisées pour l'occasion. Le Québec occupe a lui seul le quart de cette programmation, avec une cinquantaine d'activités et 87 artistes.

Le Salon du livre, lui, rassemblera jusqu'au milieu de la semaine prochaine 3000 auteurs et 1200 éditeurs. Environ 25 pays sont représentés. Une trentaine d'auteurs québécois ont fait le voyage.


PS: C’est une des raisons pourquoi j’ai toujours été d’accord avec Dany Laferrière sur l’inutilité de passer par Paris pour être reconnu!

dimanche, mars 19, 2006

Intermède poétique

Vu l'entêtement de Blogger, qui depuis ce matin ne me permets pas de poser des photos; je me vois dans l'obligation d'inaugurer ce que j'appellerai des intermèdes.

Pour ce dimanche tout ensoleillé qui m'a permis de passer plus d'une heure au balcon en compagnie d'un bon livre et de mes premiers pots de fleurs: je vous offre donc la première intermède poétique!

Bon dimanche à tous!

samedi, mars 18, 2006

Dernière chance

Avant d’aller chercher jardinières, pots, sécateur et taille conifère; je suis allée faire un tour chez nos futurs voisins.


Entre les ouvriers qui s’activent à faire la finition intérieure et les autres qui nettoient de fond en comble, avant l’entrée de nouveaux propriétaires/voisins, je suis allée faire un tour dans chaque appartements, afin de prendre des photos de la vue qu’ils auront de chez-nous.


Contrairement à nous qui avons la vue dégagée sur les prés voisins ou le Jura au loin, de l’autre bâtiment, ils ont la vue sur le nôtre et devant sur le garage couvert, la rue et une partie du village.


Munie de mon appareil j’ai arpenté les différents étages & balcons.


Pour leurs choix de finition intérieure: c’est du domaine privé-donc pas de photos-. Juste vous dire qu’à chaque fois ça confirme nos choix et qu’autant point de vue situation, vue et intérieur: on a le meilleur, le plus beau! Ce qui a de génial c’est que c’est tellement personnalisé tout ça que tout un chacun devrait logiquement avoir les mêmes sentiments de fierté.


Voilà!

vendredi, mars 17, 2006

Semis

J’ai semé 9 graines de haricots jaunes. Bien hâte de les voir pointer le bout de leurs premières feuilles. En principe: ça devrait suffire. Il me semble que ça pousse tout seul ces trucs là et que ça a un bon rendement.

Tout ça suppose un remaniement général. Les plantes qui ont hiberné à l’intérieur devront reprendre le chemin des grands airs.

Certaines plantes d’intérieur pour qui j’ai fait un spécial soleil récemment; retrouveront leurs quartiers. C’est tellement clair ici, que d’être près des fenêtres n’est plus nécessaire. Elles aussi ont un peu souffert de pratiquement deux mois de brouillard.


Le balcon, si peu habité depuis novembre: bénéficiera d’un aménagement adéquat pour la belle saison à venir, mon premier printemps! En Suisse: la belle saison démarre fin mars pour se terminer fin octobre en général.


Les mouches et ce joli papillon sur le mur extérieur l’ont bien compris eux! Une guêpe est venue visiter mes myosotis durant ma lecture au balcon!



Normalement avec le retour du beau temps et tout l’entretien demandé autant au niveau privé qu’au niveau condo: ça pourrait donner une densité moindre au niveau des billets ici…

jeudi, mars 16, 2006

Un petit jeudi comme je les aime!

J’ai travaillé en matinée, ensuite je suis arrêtée chez Obi pour acheter essentiellement des géraniums pour le balcon, pour finir; je suis revenue avec tout plein de trucs, sauf les fameux géraniums qu’ils n’ont pas reçus en fait!

Je me suis ramené 3 bégonias Eliator pour mettre au balcon ainsi que des myosotis. J’ai farfouillé dans leur assortiment de reproductions pour tomber sur le seul Dalì qu’ils avaient:


Apparition du visage de l’Aphrodite de Cnide dans un paysage, 1981.

Aussi une jolie affiche montrant le premier vol en ballon -qui ne s’appelait pas encore montgolfière-.



Le premier ira à la chambre à coucher et l’autre dans le hall, je les ai posés dans leurs cadres et ils n’attendent qu’une vis au mur!

Il me manquait une petite corbeille près des ordinateurs, alors j’ai pris celle de la salle de bain que j’ai remplacée par une Brabantia en inox. Du coup; j’ai déplacé une fougère pour la poser plus près de la fenêtre. Et hop!



PS: vous remarquerez mon orchidée qui a encore fière allure après bientôt 4 mois avec sa magnifique floraison dont elle a perdu qu'une feuille!

mercredi, mars 15, 2006

Gotthard

Je me suis offert leur dernier CD hier avant de rentrer. Je ne suis pas déçue. J’ai toujours aimé ce groupe suisse qui me rappelle parfois Led Zepplin.

Le mélange de rock et de balades me va tout à fait. Son écoute a ponctuée ma journée de congé passée à faire du ménage personnel et au condo, de la lecture un peu au balcon et essayer de finaliser les &%***§§ d’impôts!

mardi, mars 14, 2006

Permis C

J’ai enfin reçu mon permis C, après 4 mois d’attente! Il a fallu retourner 2 fois pour demander ce qui se passait. À la première, la dame nous dit que c’est Berne qui nous a égarés, la 2e fois; elle demande une photocopie de mon passeport… cherchez l’erreur.

Bref: j’ai mon permis C!

Voici les différences que j’observe dessus:

Permis B = Autorisation de séjour
But du séjour = Vivre près époux, avec la date de notre mariage à côté, plus la mention: regroupement familial avec activité lucrative. Puis: la date de mon entrée en Suisse.

Permis C = Autorisation d’établissement

Aucuns autres détails, sauf mon adresse et ma date d’entrée en Suisse. Pour eux: je ne suis plus en séjour… après 8 ans! J’ai le droit de vote au niveau communal. Par contre; c’était un peu juste car il y avait votations ce dimanche… soit 48 heures après avoir enfin mon permis en main et encore… il me faut aller faire apposer le sceau au bureau communal!

Ce tableau d’Escher traduit tout à fait comment je me sens parfois et particulièrement maintenant!